1. MON NOM EST PLAISIR...


    Datte: 03/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... parking, je vous la laisse en mille. Et bien oui ! La fameuse secrétaire. Elle était appuyée sur la portière d’une Ford Fiesta d’un rouge vif. D’ailleurs elle me fixait quelques instants et, me reconnaissant, elle me sourit. Je fis un petit décrochement et allais à sa rencontre. Elle tenait en laisse un teckel.
    
    - Je viens de le récupérer, me dit-elle. Une amie, qui habite le quartier me le garde pendant que je travaille.
    
    Nous avions échangé quelques banalités. À un moment le chien s’était pris les pattes dans la laisse. Pour lui venir en aide, elle s’était accroupie aussitôt. Ma galanterie m’obligeait à faire de même. Je marquais un étonnement. Sa position me donna l’opportunité de me régaler la vue. Ravi devant le spectacle de la légère une culotte en dentelle blanche. Tiens ! Tiens… Qui soulignait, plus qu’il ne le protégeait, l’adorable fruit défendu. Des mèches de poils s’échappaient sur les côtés du triangle de tissu. Que du bonheur !
    
    Moi qui ai horreur des minous chauves ou juste soulignés d’une virgule de quelques poils, j’étais là gâté !
    
    Mais aussi médusé, pétrifié, scotché par cette vision bandante. Une érection spontanée déformait mon pantalon. Je soulevais la patte du chien alors qu’elle s’occupait de délier la laisse. Je bandais maintenant très dur. Et la coquine s’en était aperçus. Je perçus comme une petite rougeur sur ses joues, alors qu’elle se redressait.
    
    - Je m’excuse pour ma réaction très masculine, mais ce n’est pas contrôlable.
    
    Elle ...
    ... sourit en me disant :
    
    - Ne vous excusez pas. Après tout, cette réaction est parfaitement naturelle, non ?
    
    Elle avait tout de même conscience qu’elle était la responsable. Ne manquant pas d’humour elle ajouta :
    
    - Si je peux me le permettre, je vous conseillerez de rentrer le plus vite pour que madame…
    
    - Je suis en instance de divorce, la coupais-je. Le rendez-vous avec l’avocat.
    
    - Ho! Je m’excuse.
    
    - Je vous en prie. Vous n’êtes pas censé de le savoir.
    
    - Mais alors ? réplique-t-elle.
    
    - Oui, hélas, je ne peux que compter sur moi-même.
    
    - Non… vous n’allez pas me faire croire que vous n’avez pas une copine qui veuille bien vous soulager.
    
    - Même pas.
    
    - Mais putain ! Dans quel monde en vie, fit-elle, avec un petit rire mi-narquois, mi-émoustillé. Alors qu’elle posa sa main sur ma protubérance.
    
    - Si vous le permettez, je ne serai pas contre de vous soulager de votre trop plein d’excitation. D’ailleurs je suis tout de même la responsable, même involontairement de votre saillit. En conséquence, je vous dois réparation. Ne voulant pas trahir mon époux, je vous propose le prêt de ma main. Mais pour cela montant dans ma voiture.
    
    Après avoir jeté ce chien sur le siège avant, elle m’invita à prendre place sur la banquette arrière. Comme l’aurait fait une infirmière, elle écarta les obstacles qui la gênaient, avant d’entourer ma verge de ses doigts. Très lentement, elle commença une caresse de haut en bas, et de bas en haut. C’était délicieux. Sa bouche ...