1. MON NOM EST PLAISIR...


    Datte: 03/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... jambes. Apparemment peu soucieuse du spectacle qu’elle pouvait me donner. Comme dans un songe, les genoux de la secrétaire se séparèrent. Ses cuisses blanches surgissaient de la jupe qui remontait. Elles s’ouvraient de plus en plus. Dans ma vue apparut alors, à leur jointure, un triangle blanc. Un string en fin dentelle qui surmontait des bas de couleur chair et sensuels. Je me mordais les lèvres pour ne pas lâcher un cri de surprise et d’envie.
    
    Elle me regardait. Avait-elle deviné l’effet qu’elle me faisait ?
    
    Je restais interdit. Je la surpris, esquissait un sourire. Soudain, ses mains descendaient jusqu’à sa jupe et, d’un mouvement vif, se glissaient dessous pour ressortir aussitôt, entraînant le mince bout de tissu. Lentement, elle le glissait jusqu’à ses genoux et le laissa continuer sa course le long de ses fins mollets avant de s’arrêter sur ses petites chevilles qui surmontaient de jolis escarpins noirs.
    
    D’un geste preste, elle dégagea un pied, puis l’autre. Du bout du doigt, elle fit tournoyer la dentelle. Jusqu’à ce qu’il lui échappe et vole à travers le bureau pour atterrir à deux mètres à droite de mon poste d‘observation. J’avais chaud. Avec un sourire à la fois innocent et satisfait, elle écarta ses cuisses, m’exhibant son intimité. Elle se régalait de l’effet que cela produisait sur moi. L’air était électrique et empreint de sensualité !
    
    Le tableau qui s’offrait à moi était impensable. Une vraie débauche sexuelle, qui enflammait mon bas-ventre. ...
    ... Comme si ce n’était pas assez, voilà que la coquine s’enfilait un doigt dans son sexe. Ressortait et replongeait à nouveau, laissant apparaître à chaque pénétration un mince filet de mouille qui s’écoulait de son antre. Je relevais la tête et croisais son regard. Il était couronné d’un sourire espiègle et d’un regard soutenu qui sonnait comme une invitation à venir la rejoindre.
    
    Soudain, une sonnerie de téléphone retentit. Me ramenant dans le présent. Je n’en revenais pas moi-même. J’avais été la proie d’une hallucination. Un jeu d’ombres… une farce de mon subconscient. Pour me le prouver je n’avais qu’à tourner la tête sur le côté pour m’apercevoir qu’il n’y avait aucune dentelle sur le sol.
    
    À la deuxième sonnerie, la secrétaire se mit aussitôt à gigoter sur son fauteuil. Elle décrocha le combiné de téléphone et je l’entendais dire, un :
    
    - Oui monsieur…
    
    La conversation fut brève et la femme reposa l’appareil sur son socle. Un homme de taille moyenne pénétra quelques instants plus tard dans le bureau, et me serra chaleureusement la main.
    
    - Je suis désolé de vous avoir fait attendre ! Vous ne vous êtes pas trop ennuyé. Voulez-vous bien me suivre, s’il vous plaît. Il me précéda jusqu’à son bureau.
    
    Une heure plus tard, je sortais du bureau, suivi de l'avocat. Il me raccompagna jusqu’à la porte. Je fus contrarié de ne plus trouver la secrétaire derrière son bureau.
    
    Mais alors que j’avançais en direction de ma voiture, que fut ma surprise d’y voir sur le même ...
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