1. MON NOM EST PLAISIR...


    Datte: 03/07/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Alainylon, Source: Hds

    Je peux affirmer que je me suis masturbé pour la première fois à 13 ans. Depuis, j’ai toujours eu un goût immodéré pour ce plaisir que l’on dit solitaire. Même marié et satisfait dans le domaine des rapports sexuels, je n’en ai pas moins continué à me branler.
    
    À ce penchant s’en ajoute un second, voyeur. Oui, j’aime apercevoir, entrevoir, non pas en regardant des exhibitionnistes, mais en comptant sur la chance et le hasard pour pouvoir satisfaire mon goût pour les petites culottes entrevues. Je dois dire quand ce domaine je suis plutôt chanceux, et je ne puis résister à l’envie de vous raconter mon dernier « coup de chance », qui fut particulièrement bandant et qui m’a procuré un plaisir extrême.
    
    Lors de ma première rencontre avec l’avocat pour mon affaire de divorce, j’arrivais dans le cabinet avec quelques minutes de retard. Je donnais mon nom à la réceptionniste à l’accueil. Elle eut un large sourire avant de roucouler.
    
    - Oui, vous allez prendre l’ascenseur face à vous et monter au deuxième étage. À votre arrivée, une secrétaire vous accueillera et vous accompagnera jusqu’au bureau de maître X.
    
    Une femme, dont la grosse bouche semblait faire la moue mais aux yeux d’un très beau bleu, m’accueillait à ma sortie, et demanda dans un souffle :
    
    - Monsieur Alainylon ?
    
    - Oui, c’est bien moi, répondis-je.
    
    - Maître X vous prie de l’excuser, il est retenu par un rendez-vous à l’extérieur. Il vous demande de bien vouloir l’attendre. Si vous voulez bien me ...
    ... suivre.
    
    Elle virevolta, et me précéda. Je découvrais chez elle, une chute de reins incroyablement cambrée, soulignée par la jupe tendue à craquer. Le léger balancement achevait de me donner le vertige. Elle ne pouvait pas ignorer l’effet qu’elle me faisait. Arrivée dans un bureau, elle prenait place sur une chaise, se tortillant pour croiser des jambes charnues, tant sa jupe était serrée. J’en avais la bouche sèche.
    
    Elle m’invita alors à m’asseoir sur une chaise face à son bureau. N’ayant rien d’autre à faire, je la regardais s’affairer sur son ordinateur. Découvrant soudain l’absence d’un panneau devant le bureau. Lentement, je sentais mon bas-ventre se réchauffer. Je soulevais ma chaise en toute discrétion et la reculais pour avoir un plus grand angle d‘observation. La secrétaire tapait toujours sur le clavier les yeux rivés sur la feuille posaient sur sa gauche.
    
    Je pris un feuillet dans mon dossier et fis semblant de le consulter. Seule les longues jambes douces et effilées de la secrétaire m’intéresser.
    
    Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais la sensation qu’elle se doutait que je l’épiais. Ça ne m’empêchais de regarder le galbe de ses jambes. Je n’avais qu’une envie, glisser ma main entre ses cuisses. Je n’avais plus en face de moi, une secrétaire mais un sexe. Une chatte avec un minou dont je mourais d’envie de faire plus ample connaissance avec lui.
    
    Je m’attardais. Je profitais à loisir de scruter ses jambes. Elle se mit tout à coup à croiser négligemment les ...
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