L'animal qui est en toi
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... rien, tandis que moi, complètement effaré, je m’empresse de la suivre…
Je viens de ramasser ce fameux soutif lorsque les choses s’accélèrent : juste à la hauteur de la chambre où elle se trouve, j’entends un bruit de serrure et une porte qui s’ouvre. Bien loin de s’affoler, Jennifer se retourne vers la porte en question et décroche à cet heureux veinard un sourire à faire fondre la banquise, avant de s’en retourner comme si de rien n’était.
Mais le veinard n’est pas content, puisqu’il s’agit d’une femme, la soixantaine bien tassée, le cheveu gris et hirsute et, à ma grande surprise, bien loin de s’en prendre à Jennifer, elle commence à m’insulter moi, sous prétexte que l’on n’a pas idée de laisser sa femme faire des choses pareilles.
Complètement cueilli par la réaction de la vieille, un mince éclair de lucidité m’empêche toutefois de l’envoyer chier dans les grandes largeurs. Ce n’est pas l’envie qui m’en manque pourtant, et j’essaie de la calmer, lui disant que ce n’est pas ma femme, que je n’y suis pour rien – ce qui est partiellement vrai, après tout – avant qu’elle ne rameute tout l’hôtel.
Et pendant ce temps, Jennifer, complètement écroulée de rire bien que toujours aussi nue, m’attend sagement à la porte de la chambre. Que voulez-vous, les porte-jarretelles n’ont pas de poches, et les clés, c’est moi qui les ai…
Alors, tandis que j’essaie de dompter le dragon, je lui lance les clés, qu’elle laisse tomber sur le sol. Comme de bien entendu, elle ...
... s’empresse de me tourner le dos pour les ramasser, mais en prenant bien soin de ne pas plier les genoux, et son délicat abricot, aux lèvres entrouvertes et luisantes de mouille, apparaît dans l’encadrement de ses jambes interminables et gainées de noir. Arrgggh…
Et cela n’en finit pas… Pour cause, elle me regarde du coin de l’œil, ce qui n’est pourtant pas la meilleure méthode quand on veut ramasser quelque chose sur le sol.
Cinq minutes plus tard, j’ai enfin réussi à me débarrasser de cette vieille emmerdeuse, et Jennifer a enfin consenti à rentrer dans la chambre. Mais quand j’y entre moi-même, c’est pour la retrouver, toujours dans la même tenue, allongée sur le lit et les jambes largement écartées. Non, elle ne se masturbe pas, elle joue simplement avec les poils de son pubis. À mon avis, l’alerte de la nuit précédente lui a ôté l’envie de recommencer, pour le moment tout du moins.
— Bon, tu préfères me baiser, moi, ou la baiser, elle ? Je n’attends que ça, tu sais…
Si l’altercation avec l’autre buse, là, dans le couloir, avait quelque peu calmé mon érection, la voilà repartie de plus belle. J’essaie de noyer le poisson.
— Attends, laisse-moi te regarder quelques instants… Tu es si belle…
En fait, je suis un bel enfoiré, puisque je m’assieds sur le lit, juste à côté d’elle, et je commence à la caresser doucement. Je commence par passer le revers de ma main sur son ventre nu, puis je remonte doucement vers ses seins, dont les pointes déjà dardées depuis longtemps ...