L'animal qui est en toi
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
vacances,
parking,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
fsodo,
amourpass,
extraconj,
Auteur: Catherine, Source: Revebebe
... rajoute encore une louche.
— Derrière toi, il y a une table. Je me fous d’être vue, mais tu n’es pas capable de me niquer, là, tout de suite, sur cette table…
Pendant une fraction de seconde, je me dis que je vais le faire. J’ai le sang qui me tape dans les tempes, cette fois je vais craquer, tant pis ! Alors, la prenant par le bras, je l’amène à la fameuse table, je l’assois dessus, elle remonte elle-même sa jupe, je sors ma queue, la libération est proche… Mais c’est à ce moment précis que j’entends le bruit caractéristique de l’ascenseur qui arrive à l’étage. Si c’était arrivé dix secondes plus tard, ascenseur ou pas, je continuais ce que j’étais en train de faire, et tant pis pour ce que les gens auraient bien pu penser de nous. Mais là, je me renfroque en catastrophe, je tire de nouveau sur le bras de Jennifer pour la faire redescendre de la table, sa jupe reprend aussitôt sa place, et c’est toute une famille de Hollandais qui sort à cet instant précis, dans un brouhaha joyeux. Le regard dépité de ma partenaire de jeu en dit bien plus que tous les longs discours.
— Cette fois, tu as bien failli gagner, je crois.
— En effet, dommage… Mais je n’ai pas encore dit mon dernier mot.
Ça, comme dirait l’autre, je n’en doute pas. Je n’ai d’ailleurs pas à attendre très longtemps pour en avoir la preuve : entre cet ascenseur et nos chambres, il y a une petite cinquantaine de mètres. J’étais tranquillement en train de me dire que cela me ferait quelques instants pour ...
... reprendre mes esprits, mais c’est sans compter avec sa détermination.
Après avoir fait quelques mètres dans le couloir, et sans tenir compte qu’à tout moment quelqu’un peut très bien sortir de sa chambre, elle commence à défaire les boutons de sa veste de tailleur, qu’elle laisse nonchalamment tomber sur le sol. Bien entendu, sans la quitter des yeux, je la ramasse, et c’est au tour des minuscules boutons de nacre de son caraco d’être défaits, et elle se retrouve le plus simplement du monde en jupe et soutif au beau milieu du couloir. A-t-elle prévu le coup depuis longtemps ou est-ce de l’improvisation, mais elle profite d’un tout petit recoin pour se retourner vers moi, tout en levant les bras. Le soutien-gorge à balconnet en profite pour laisser échapper deux délicats bouts de seins écarlates, gonflés de désir, qu’elle se met aussitôt à titiller du bout des doigts. De nouveau, j’ai les mains qui tremblent, mes yeux n’arrivent plus à se détacher de ce divin spectacle, mais, sans avoir le moins du monde pris le temps de remettre ses seins dans leur délicat écrin, elle repart dans le couloir en direction de nos chambres.
Et, toujours sans avoir jeté le moindre coup d’œil concernant un spectateur éventuel, elle s’attaque à la fermeture éclair de sa jupe qui glisse doucement le long de ses jambes. Et, le plus simplement du monde, elle déambule tranquillement dans le couloir, vêtue uniquement de ses bas, de son porte-jarretelles et de son soutif qui ne cache désormais plus ...