1. Ma pute et voisine


    Datte: 29/06/2020, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... me concéda que son plaisir était accru de savoir alentour nombre de voyeurs et de patentés vicieux. Cela au contraire me coupait les effets. Le cul pour moi devait demeurer un acte discrétionnaire. J'en vins à retrouver cependant un style plus bestial que je ne pouvais assouvir avec l'épouse. Je louais le divin créateur d'avoir inventé de pareilles salopes.
    
    La mienne ce jour-là n'eût de cesse et après quelques saillies à me vider complètement les couilles. Entre temps j'avais pu sans vergogne effectuer des aller-retours dans sa chatte et son autre trou. L'anus encaissait placidement tous mes coups de bite. Elle m'exhortait à l'insulter et à la traiter de pute. J’avais peu d'effort à faire pour cela. Je songeais à tous ceux qui auparavant l'avaient pareillement baisé . Je pourrais peu m'en vanter. Sauter une telle créature relevait du conformisme. A cet égard je crus devoir la sermonner.
    
    Quelle mouches me piqua ? Revenu à un reste de scrupule, je lui représentais qu’elle faisait passer son époux pour minable. J'ajoutais qu'on la traitait elle-même de pute. Elle traînait leur couple dans la boue. Je la vis enragée. Je ne manquais pas d'air. Je venais de la sauter et faisais mon curé. Elle jeta le nom funeste de Tartuffe. Elle avait mille fois raison. Je considérais trop tard le ridicule de mes propos. Je demandais qu'elle m’excusât. J'arguais que je n’avais jamais trompé ma femme. D'où mon émoi, mon dérapage.
    
    C'était pur mensonge mais elle me crut. J'avais deux, trois ...
    ... maîtresses au bureau. J'étais loin d'être ce petit saint affiché. Le long du chemin, je fus branlé et sucé de nouveau. Je criais en riant que je n'avais plus de goutte de sperme. Elle me dit que nos demeures étaient contiguës et que je n’avais que le mur à franchir pour venir la sauter. Son homme s’absentant souvent. Ce que je fis deux jours plus tard ma femme étant parti à sa gym. Un texto m’informait que le chemin était libre. J'eus droit à la baiser dans leur lit.
    
    Je puis me vanter que durant un mois je fus un peu un amant attitré. Je crus ainsi me l'attacher et l'avoir guéri. Je n'en eus pas moins la conviction qu’elle continuait à monter dans d'autres voitures et à y faire des cochonneries. Armand me confirma notamment que son truc était d’aller lever sur l'aire proche de l'autoroute. Les routiers dont nombre d'étrangers lui passaient dessus. Elle avait trop le feu au cul. Rien n'y ferait. Je n’avais pu avec ma modeste pompe éteindre un incendie. Aussi devins-je à force amer et jaloux.
    
    J'encourrais le risque de céder aux maladresses et d'alerter ma femme. Inéluctablement se dessinait la catastrophe. Heureusement survint l’événement qui me dessilla les yeux. J'avais entrepris depuis peu l'activité coupable de la suivre et de l'espionner. Au bout d'une semaine j'en sus assez et notamment une certaine après-midi. Elle arborait une de ses robes courte et légère. Confinant à l'obscène car inconsidérément transparente quand elle marchait au soleil et dans la lumière. On ...