1. Ma pute et voisine


    Datte: 29/06/2020, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... peu. Nous n'avons pas encore fait connaissance. » Penaud je balbutiais des termes incohérents. Il me parut qu'elle roulait davantage du cul tandis qu'elle s'éloignait sur le trottoir.
    
    La nuit j'eus songeant à elle, une irrépressible érection. Je me branlais sous le drap. Au matin je besognais ma femme en ne songeant qu'à elle. Plus tard croisant le voisin bedonnant je fus jaloux que l'imbécile ait obtenu ce que je désirais. Il était trop manifeste qu'elle me voulait au nombre de ses amants et ainsi m'ajouter à son tableau de chasse. J'avais conscience du futile et du néant de la chose. Une putain ne peut avoir de prix. Rouler dans le ruisseau, la belle affaire ! Je ne gagnerais qu'à me couvrir de ridicule.
    
    Puis vint le jour fatal. J'en vins misérable moucheron à m'empêtrer dans sa toile. Au feu rouge je ne fis guère attention que celui-ci était près de l'arrêt de bus. Je vis qu'on me faisait signe . C'était elle. Je perçus un peu de ses paroles. Elle me demandait si je rentrais chez moi et pouvais la ramener. Je fus un instant tenté de mentir et de me débiner mais le Diable souvent tient les commandes de la raison. Peu après elle était à mes côtés saturant l'intérieur du véhicule de son puissant parfum. Mon regard lui dévorant ses cuisses.
    
    Sa robe en effet était courte inconsidérément . Ce mois de juin chaud ne justifiait pas qu'on lui vit la culotte pour peu qu’elle se baissa. Autre détail, la culotte, un string en l'occurrence, était ostensiblement transparente. ...
    ... Sans peine on pouvait considérer le dessein de sa chatte. Plus d'une fois affectant de chercher dans son sac sur la banquette arrière, elle me laissa le loisir de mater l'entrecuisse. Le but fut atteint que je bandais douloureusement. Une sueur perlait mon front. On eût dit qu'elle me brûlait le cerveau.
    
    Babillant, elle passa peu après à de l’impertinence. Elle vint à mon épouse. « J'ai l'impression que votre femme ne peut m'encadrer. » J'en convins. Je pus ajouter qu’elle était une jalouse invétérée. Il était trop tard car je m'enfonçais à mesure. Je percevais son regard fixé sur moi et que je n'osais affronter. Sa main fut bientôt sur ma cuisse. Celle-ci remontait inexorablement vers une bosse caractéristique qui trahissait mon émoi. La salope me branla. Peut-être étais-je sur le point d’exploser ou de souiller mon pantalon.
    
    Je ne pus que ranger la voiture sur le bas côté pour me jeter sur elle. Ses lèvres étaient prégnantes, brûlantes. Elle était une créature infernale. Pauvre légume jeté dans une marmite, j'y devais cuire ou griller. Elle suçait d'une façon farouche. La pipe fut longue. Avec ses lèvres, sa langue et l'entier de la bouche, elle savourait mon fruit. Depuis l'armée et la fréquentation de prostituées, on ne m'avait prodigué une pareille fellation. Je me retins d'exploser, escomptant bien jouir du reste.
    
    J'obtins pourtant d’aller plus loin sous un gros bouquet d'arbres car la garce n’avait scrupule qu'on nous vit et que son cul fut admiré. En effet elle ...
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