1. La Gestionnaire (20)


    Datte: 29/06/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... toute conscience tant elle vit son plaisir. Je ne la connaissais pas avant et je viens de la faire jouir. Mon sexe aussi a pris un plaisir certain. Il est humide et poisseux. Mes lèvres sont collées entre elles. A peine ai-je fini de profiter de la jouissance de jeune femme que Monsieur Henry, me tirant par ma laisse me place face à un autre sexe féminin, béant lui aussi. Mais la jeune femme a commencé à se faire du bien. Elle s’offre nue à mon regard. Mes yeux dévorent et fixent sur l’abricot lisse, rose et juteux niché en haut de ses cuisses. Sous une bande de poils bien taillés, ses deux lèvres se montrent. Elles sont rouges de sang. Elle a dû frotter dur pendant ma séance avec sa copine.
    
    Elle s’installe plus confortablement sur la table, en écartant un peu plus les cuisses offrant à ma vue ses lèvres déjà brillantes de mouille. Son sexe blond dévoile des nymphes humides. Lentement sa main glisse vers son minou, un doigt dessine ses lèvres, les écarte un peu. Elle attend, les yeux clos, bouche ouverte, les deux seins tendus. De la langue, j’écarte un peu ses ...
    ... lèvres. J’explore son sexe. Il ressemble à un coquillage. Elle a un goût différent, un mélange léger, salé. A peine effleuré, son clitoris se gonfle. Je lèche, lape les lèvres et le clitoris tendu. Je fouille de la langue ce sexe offert. Son sexe se liquéfie. Son suc me coule dans ma bouche. Elle mouille comme une fontaine. Ma langue fouille, aspire ses lèvres, les mordille. Je mordille son clitoris et le pince entre ses lèvres. Il se gonfle. Je le suce comme je le ferais d’une bitte. Sans prévenir, j’enfonce trois doigts entre ses lèvres. Elle crie de surprise. Je commence un lent va-et-vient dans sa chatte. Mon pouce se pose sur son clitoris et l’agace.
    
    Elle crie. Une vague de plaisir la submerge. Ses cuisses se referment, emprisonnant ma tête contre son sexe. Elle feule. Je sais qu’elle ne simule pas son plaisir. Monsieur Henry me tire en arrière :
    
    — Allez c’est terminé... on rentre chienne...
    
    Il me tire hors de la chaleur du ventre féminin. Nous sortons. L’humidité me fait frissonner. Il m’aide à monter sur le dos de Rail. Nous repartons vers le château. 
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