1. La Gestionnaire (20)


    Datte: 29/06/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory

    ... temps le pantalon et le caleçon. L’objet est là. Il commence à se relever malgré la température très fraîche. J’empoigne un sexe déjà raide... Mes mains se promènent sur son sexe, le caressent. Très vite je les remplace par ma bouche et ma langue.
    
    — Tu aimes que je te suce.
    
    Je promène son sexe sur mon visage. Je le reprends dans ma bouche, mes mains prennent appui sur ses cuisses. Il passe ses mains dans mes cheveux. Ses doigts se crochètent dans ma chevelure et me donnent le rythme. Je recrache sa bitte luisante.
    
    — Je ne veux pas venir dans ta bouche, mais en toi, dans ton sexe...
    
    — Je ne sais pas si j’ai le droit...
    
    — S’il te plaît...
    
    Je me redresse et prenant appui sur la balustrade, je lui présente mon cul.
    
    — Prends-moi, vas-y...
    
    Il avance derrière moi. Il passe sa main entre mes cuisses. Il flatte mon sexe. Il dégouline, il ruisselle de mouille. Son sexe s’approche du mien. Son gland se pose à l’entrée de ma grotte. Doucement, il appuie et entre comme dans du beurre. C’est doux, c’est bon... Ses mains posées sur mes hanches donnent le rythme. L’une de ses mains quitte ma hanche et remonte vers ma poitrine. Sa main empaume mon sein. Il me met de grands coups. Il a besoin de se vider, l’envie est trop grande. Il prend mes cheveux à pleines mains et me tire en arrière. Il bute au fond de mon ventre. J’ai mal.
    
    — Tu es une petite salope...
    
    — Oui si tu veux... je suis à toi... fais ce que tu veux de moi...
    
    — Je veux ton cul...
    
    — Si tu veux, ...
    ... prends-moi comme un garçon...
    
    Je me penche encore plus. Mon cul se relève, se tend. Quand je sens son sexe contre mon anus, je résiste un peu. Je préfère freiner les ardeurs de mon jeune amant. Il pousse d’un coup sec. Je crie fort quand il me pénètre. J’essaie de ralentir des coups. Il me tient pas les cheveux et me tire en arrière pour que je sois plus docile.
    
    — Arrête, fais doucement...
    
    Puis d’un seul coup, le plaisir monte. Je le sens. Il vient comme une tornade.
    
    — Continue...
    
    Il me claque les fesses à grands coups de mains. Son plaisir arrive. Sa verge se gonfle, grossit. Puis les flots arrivent déferlent dans mon sexe. Il jouit. Je jouis moi aussi. Il se retire. Je me relève et lui pose un baiser sur les lèvres. Il me saisit par le cou.
    
    — Nettoie-moi.
    
    Il me force à m’agenouiller. Sa bitte est molle. Il y a des restes de mes entrailles. Je suis écœurée. Sous la pression de ses mains, j’avale le sexe mou. Je le lave de ma langue. Une fois propre, je le recrache.
    
    — Merci salope...
    
    Je ne dis rien... il me tire par la laisse dans la maison. Notre arrivée est saluée par des "hourra" et des "félicitations". Il rejoint sa place autour de la table. Monsieur Henry m’appelle :
    
    — A genoux à mes pieds...
    
    J’obéis et m’installe au niveau de sa chaise.
    
    — Non, tu n’as rien compris... c’est sous la table que tu vas...
    
    Il s’écarte pour me laisser un passage. Il fait noir sous la table. La laisse se tend. Je me retourne. Les cuisses de Monsieur Henry ...
«12...456...»