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La Gestionnaire (20)
Datte: 29/06/2020, Catégories: Trash, Auteur: hugo_g, Source: Xstory
... poignets dans mon dos. Il me guide par ma laisse. Le couloir des box est éclairé. Il s’arrête face à un box. A l’intérieur, un grand cheval piaffe. De robe presque noire, il est majestueux. — Je te présente Rail... il a sept ans... c’est un étalon... — Mais je ne sais pas si je saurais me faire obéir d’un étalon... — Monsieur François m’a demandé de te dresser avec lui... Il entre dans le box. Il attrape Rail au licol et le sort. Nous allons vers la sortie. — Retourne dans le manège... je le selle et j’arrive... J’attends patiemment au milieu du sable blanc de la piste. Le bruit des sabots de Rail retentit dans le couloir pavé. Ils entrent dans le manège et stoppent devant moi. — Voilà ta monture... Rail est harnaché. Mais la selle est curieuse. Elle est rigoureusement identique aux selles de monte hormis l’assise. Elle n’existe pas. Lorsque je vais m’asseoir, mes fesses seront en contact direct avec le pelage de Rail. — Je ne peux pas monter les bras attachés... Monsieur Henry vient près de moi. — Pose ton genou dans ma main et je te pousse en haut... Je donne mon genou dans la paume calleuse et je me sens propulsée vers le haut. Je lance ma jambe au-dessus de la croupe et je retombe sur le dos de Rail. Il bouge un peu. Heureusement que Monsieur Henry le tient. La sensation est étonnante. Le crin me pique les lèvres et les fesses. Monsieur Henry place mes pieds dans les étriers. Il libère mes poignets de mon collier pour les verrouiller ...
... aussitôt sur l’arrière de la selle. Ma laisse est attachée au pommeau de la selle. Au sifflement doux, de Monsieur Henry, Rail se met à tourner dans le manège, au pas, puis au trot. J’essaie de garder mon équilibre. Au bout de quelques minutes, l’écuyer de Maître FX me félicite : — Tu montes bien... nous pouvons aller plus loin... Il ouvre la porte du manège et Rail sort vite. Nous sommes dehors. Le soleil est caché par des nuages. Aussitôt, Monsieur Henry arrive. Il monte lui aussi un cheval de grand gabarit. Il part vers le parc. Un coup de sifflet intime l’ordre à Rail de le suivre. Nous trottons sur les pelouses. Le crin irrite mon sexe. Le frottement n’est pas agréable, bien au contraire. C’est comme si l’on me passait une brosse sur le sexe et cela sans ménagement. L’air frais et humide du matin me glace. Mes seins sont tendus et mes tétons pointent. J’ai froid. Ma peau se granule. Monsieur Henry me surveille du coin de l’œil. Il remarque mes grimaces et constate que je soulage mon sexe en me dressant sur les pieds avec les étriers. Il saisit les rennes et arrête les chevaux. Il saute de sa selle. — Tu es une tricheuse... mais je t’ai l’œil... Il sort mes pieds des étriers et avec un lien attache mes chevilles aux lanières des étriers. Il ôte les pièces métalliques qui me servaient de support. C’est fini. Je ne vais plus pouvoir soulager le frottement sur mon sexe. A peine remonté sur son cheval, que de sa cravache, il cingle la croupe de Rail. Ce dernier ...