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Couleur café…Que j'aime ta c...... (1)
Datte: 25/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: RobyMartine, Source: Xstory
... plus que quelques seins nus, fussent-ils gracieux et mobiles, pour que j’ai une érection si forte, à la rigueur un début de déploiement. Il me reste assez de lucidité pour comprendre que la potion n’était pas qu’amère et que malgré les dire de Roger, un produit aide à l’érection, pire la provoque sans réelles sollicitations. Mais les deux femmes s’avancent. En riant chacune se saisit d’une main et m’entraine. Quelques pas et nous entrons dans une grande cabane. Malgré la nuit j’en devine les proportions imposantes, de celles de ces abris communs que construisent les habitants pour les réunions tribales. Avant d’entrer je constate que Nadia n’a pas remarqué mon départ. C’est aussi bien car j’ai bien une idée de ma présence avec ces deux femmes. Une cloison nous cache de l’entrée. En riant elles s’attaquent à ma chemise, mon short, mon slip. Je suis sans véritable volonté, et étonné de voir ma queue en si grand forme. Elle se tient horizontale et, vue de la haut, me parait sans fin. Elles me font assoir sur une sorte de couche, puis allongé. Déjà la première vient sur moi et il lui suffit d’écarter les cuisses pour que je puisse entrevoir des lèvres roses. Sa main guide mon bâton. Elle pointe mon gland dans son intimité. Elle descend. Son rire disparait et fait place à un sourire de plaisir. Ma queue est dure. Si dure qu’elle a perdu une partie de sa sensibilité. Je comprends que la drogue a pour but de transformer un mâle en amant infatigable. La femme se baise ...
... sur moi. Elle attrape mes mains pour que je caresse sa poitrine. Elle parle mais je ne comprends pas. C’est à sa copine qu’elle s’adresse. Manifestement ma queue de blanc lui apporte un plaisir exotique. Pendant de longues secondes ma queue est un mat avec lequel elle se baise. L’insensibilité n’est pas totale. Je sens l’étroitesse de la chatte, la nervosité des parois dont les muscles semblent palpiter. Elle rugit. Dehors on a du entendre ce cri de femme qui jouit. Je suis un instrument mais heureux de lui apporter ce plaisir. Déjà elle se soulève. Elle porte ma main contre sa fente et j’y découvre la jouissance humide qu’elle porte à ma bouche pour que je déguste sa liqueur. Une façon de me remercier. Mais sa copine prend sa place. C’est une gourmande qui s’empale d’un coup sur mon dard gluant. Elle n’est pas à genoux mais accroupie avec toute la liberté que cela procure. Cette façon de se placer me laisse la possibilité de voir ma queue rose disparaitre dans cette fente dont les lèvres font un fourreau divin. Ma queue est un piston mais c’est le cylindre qui vient coulisser. Elle tourne. Toujours accroupie, elle me tourne le dos et ce sont ses fesses qui sont exposées à mon regard. Elles tremblent et m’attirent. Je m’accroche à ses hanches larges et dirige ma cavalière. Je la bloque, suspendue en vol et c’est moi qui, coup de reins après coup de reins la possède. Je ne suis pas qu’une bitte, je suis un homme. Elle apprécie. Je rythme ma possession au rythme des ...