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Couleur café…Que j'aime ta c...... (1)
Datte: 25/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: RobyMartine, Source: Xstory
... déroule comme un ballet répété de nombreuses fois. Alors que l’homme cherche sa place derrière Nadia, une place que les deux protagonistes lui libèrent en déplaçant leurs jambes, ma femme se penche sur son amant noir. L’autre décidemment expérimenté commence déjà à lui ouvrir les fesses avec les pouces qui pointent vers le cul. Une fontaine de salive tombe vers son but. Le gland pointe déjà. Il pousse. Il pousse. — Ahhhh. Longue litanie qui sort des lèvres de l’enculée alors que le dard progresse. — Viens regarder de plus près. Me propose le troisième. Plus prêt c’est splendide. Je n’ai pas peur de le dire. Ces deux tiges sombres qui dilatent, qui cul, qui chatte. Ces deux paires de couilles qui sont si prêtes qu’on les croirait soudée. Et tout ce blanc qui ondule entre ces deux mandrins. — T’aime ça salope ? Bien prise par deux bittes noires. Pourtant ton mari, (l’homme jette un regard à mon mandrin tendu), en a aussi une belle. C’est la couleur qui t’excite. T’es une bourgeoise perverse qui vient s’encanailler avec nous. Dit le à ton mari ce que tu es. Nadia est prise jusqu’à la garde. Le trio sait exactement comment faire afin que la pute blanche soit enfilée au plus profond, au plus intime. — Pierre excuse-moi. La claque qui accompagne le coup de rein de l’enculeur la surprend. — Il ne veut pas d’excuse. Il veut que tu lui dises qui tu es. — Je suis….Je suis…Ahhh, c’est bon. Ils me remplissent…Pierre ils sont gros et ...
... puissants…J’aime…Je suis désolée mais je ne peux pas me retenir. J’aime leur corps, leurs muscles, leur peau sombre, leur sexe…. Elle bouge sur les mandrins. Elle se tortille. — Regarde, comme elle aime ça. — Oui j’aime…J’aime…. Elle bouge sur eux. Je vois parfaitement chatte et cul se libérer et se reprendre aussitôt sur les deux bâtons. — Oui…Oui….Je suis une salope…Une….Oh c’est bon…Une pute… C’est fort. C’est puissant. Les vidéos ne sont rien comparées à ce que je vois. Deux hommes baisent ma femme. Moi je bande comme un malade. Ma bitte n’a pas à rougir comparée à celle du troisième homme. Ma femme se baise sous mon regard, mais elle aussi me regarde. Elle voit ma trique et semble se réveiller de ses possessions. Elle fait signe de la main au troisième. La salope va certainement le sucer, remplissant ainsi le dernier orifice. Je vais la voir souillée par trois blacks. Suprême injure ! Suprême délice ! Mais non elle lui parle à l’oreille. Un instant tous deux me regardent. Et puis l’homme revient vers moi. — Alors comme ça toi aussi tu aimes bien les bittes noires ? Je comprends ce qu’a dû dire ma femme. La garce, elle cherche à m’entrainer dans son vice. Ce n’est pas parce qu’une fois je me suis fait défoncer le cul par un roi bien monté que cela doit devenir le quotidien. — Tiens regarde celle-là. Montre-moi…. L’homme approche son sexe de mon visage. Son gland bute contre mes lèvres. Il le pousse, forçant un passage que je ne défends pas outre ...