1. Un garçon timide


    Datte: 10/04/2018, Catégories: 69, pénétratio, mélo, Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe

    ... ans et nous nous aimions bien. Mais, il y a six mois, je me suis aperçue que mon mari, cadre dans une entreprise, rentrait de plus en plus tard et avait beaucoup de réunions le soir. Excédée, je lui ai demandé des explications. Il m’a avoué qu’il avait une relation avec sa secrétaire, et qu’il désirait quitter le foyer conjugal. Il me laissait Léa ainsi que le logement qu’il règlerait. Il prendrait la petite un week-end non l’autre.
    
    J’ai été foudroyée. Se retrouver seule, abandonnée après tant d’années ensemble. Il est vrai qu’à quarante ans, trouver une fille de vingt trois, au lieu d’une femme de trente cinq, c’est tentant.
    
    Il est parti comme il me l’avait annoncé. J’ai eu une période difficile, j’ai essayé de ne pas montrer mon désespoir à ma fille. Son père vient régulièrement la chercher car il l’aime beaucoup et me verse une pension pour elle. Depuis, je n’ai plus connu d’homme, j’ai d’ailleurs abandonné la pilule qui me fait grossir.
    
    Le dimanche suivant, le père est à nouveau venu chercher sa fille. Mais il a dit à sa femme qu’il ne pouvait la garder la semaine à cause de son travail. Il allait s’arranger pour la prendre samedi prochain et toute la semaine suivante pour les vacances de février, il se libèrerait.
    
    William lui a promis d’aider sa femme, même lorsque sa fille ne serait pas là.
    
    Le samedi suivant, Léa est venue dire au revoir à William.
    
    — Je pars pour une semaine avec mon papa. Occupe-toi de maman.
    — Sois tranquille, je continuerai ...
    ... à l’aider.
    
    Comme promis à la petite, William a continué d’aller chez Béatrice. Le premier soir, elle a été embêtée pour se dévêtir, d’ordinaire Léa l’aidait. Naturellement il s’est proposé. Toutefois, lorsqu’il a détaché le soutien-gorge et admiré le corps très appétissant de sa compagne, ses mains se sont attardées sur les épaules et les hanches. Se sentant tenté, il a préféré rentrer chez lui rapidement.
    
    Le lendemain soir, c’est Béatrice qui est venu sonner à sa porte.
    
    — Alors, tu m’abandonnes ?
    — Non, excuse-moi, mais hier, quand je t’ai aidé à te déshabiller, j’ai eu peur…
    — Peur de quoi ?
    — Peur de craquer, tu es tellement belle.
    — Ne dis pas de bêtises, je suis vieille et surtout j’ai besoin de toi.
    
    Il l’a suivie. Comme à l’ordinaire, il l’a secondé pour les tâches délicates. Ils ont partagé le repas. Le canapé les a accueillis pour regarder la télévision. La tête de Béatrice est venue s’appuyer sur son épaule.
    
    — Bien, demain matin tu vas travailler, lui demande-t-elle.
    — Oui, je vais aller me coucher.
    — Mais auparavant aide-moi à me déshabiller.
    — Mais…
    — Aide-moi !
    
    Comme la veille, il a déboutonné la robe, dégrafé le soutien-gorge. Il a évité de poser ses mains sur les épaules. Mais brusquement, c’est elle qui a pivoté et il a eu contre son torse les seins de sa compagne. Pendant ce temps elle descendait la fermeture éclair de sa jupe qui tombait et révélait l’absence de culotte. Devant lui, ce corps nu, tentant qui s’offrait, il n’a pu ...
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