Un garçon timide
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
69,
pénétratio,
mélo,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... sur le lit, l’attend.
Ils reprennent le baiser, ses mains se posent sur les seins, les caressent doucement. Entre ses cuisses elle sent le désir puissant de son ami. Il le fait coulisser lentement le long de la fente. Cette friction contre le clitoris, procure une sensation merveilleuse à sa partenaire. Sans attendre d’autres caresses, elle saisit l’organe et le met en place. Obéissant à cette délicieuse invitation, il commence à la baiser. Un long moment il opère doucement ne voulant pas prendre trop vite son plaisir. Mais elle s’impatiente et demande à William, d’une voix implorante d’accélérer la cadence. Et ils partent simultanément dans un plaisir formidable.
Tous deux qui n’avaient pourtant pas beaucoup d’expérience amoureuse, sont arrivés, dès la première nuit, à une entente parfaite.
Elle est restée tout le week-end, puis est venue plusieurs soirs dans la semaine. Enfin, d’un commun accord, ils ont décidé de partager son logis. Depuis trois mois, ils vivent ensemble, heureux. Naturellement, Jacques a été immédiatement mis au courant.
Le week-end suivant, il les a invités au restaurant. William avait un peu peur du jugement de son ami. Mais celui-ci a immédiatement adopté Nadia.
Désormais tous deux se voient, un peu moins souvent, certes : le samedi, Jacques se retrouve seul pour ses sorties en boite. William a craint au début que ses rencontres fréquentes avec son ami, ne lassent sa compagne. Mais celle-ci accepte volontiers, elle n’a pas d’amie. ...
... D’ailleurs quand le téléphone sonne, c’est souvent elle qui répond à leur copain. William a beaucoup moins de soucis de ménage et trouve plus souvent le temps d’aller le soir à la bibliothèque consulter des ouvrages techniques. Il rentre tard et parfois il les retrouve en pleine discussion.
L’arrivée d’une troisième partenaire n’a pas changé les rapports entre les deux copains. William charrie souvent son ami lui demandant quand est-ce qu’il se décide, lui aussi, à se mettre en couple.
Un samedi Jacques a appelé William, l’invitant avec Nadia à déjeuner le lendemain.
— William, je pense me mettre en couple. J’espère que cela ne cassera pas notre amitié.
— Mais tu es fou, rien ne pourra jamais nous séparer, tu le sais bien.
— Je l’espère, à dimanche.
Quand Nadia est rentrée, William lui a fait part de l’invitation. Il lui a dit qu’il était intrigué par les paroles de son ami : pourquoi se fâcheraient-ils ? Jacques a bien accepté Nadia, de même, lui est certain d’accepter la nouvelle compagne de son ami. Nadia n’a dit mot.
Le soir, ils ont fait l’amour. Nadia s’est révélée particulièrement tendre, a enlacé affectueusement William, après le plaisir. Il est merveilleusement heureux.
Le lendemain matin, William s’est levé, impatient de connaître la fille qui avait enfin convaincu Jacques de se mettre en couple, lui l’intransigeant célibataire.
Quand Jacques est venu leur ouvrir, William s’est écrié :
— Où est celle qui est parvenu à te mettre la main dessus ...