Le passé recomposé
Datte: 10/04/2018,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
couple,
cocus,
hotel,
chantage,
Oral
69,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
yeuxbandés,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... attachée.
Un silence dans la chambre. Un silence rompu par le « clic » de l’obturateur. Le coquin se régale de ce spectacle. Mais rompu aussi par le bruissement de vêtements qui tombent.
Le lit bouge. Un peu comme l’autre fois, mais très vite je sens qu’il me chevauche. Tout bouge. Un sexe effleure mes lèvres. Une bouche survole mon ventre.
Il s’est placé en 69. Je le suce de mon mieux alors qu’il me lèche. Sa queue est rigide. Son gland force le passage de mes lèvres. C’est plus lui qui se baise dans ma bouche que moi qui le suce. Pendant un long moment, nous nous caressons. C’est bon. Il me domine de toute sa virilité, de sa puissance d’homme, profitant d’une esclave volontaire. Sa langue est agile. Elle m’explore du cul au clito. Ses lèvres jouent avec moi. Je me tends vers lui du mieux que m’en laissent mes liens. Il joue avec la ficelle, la tirant de ses dents pendant qu’il fait tourner le plug, me rappelant dans cet instant combien je suis prise. Mais prise par des objets. J’ai envie de mieux, de vivant, d’une belle bite bien chaude.
Mais il bouge. Je suis toute brûlante. Il va venir. Je l’attends. Je sens qu’on glisse un coussin sous mes fesses pour m’offrir encore plus.
— C’est bon, hein, ma chérie ! me souffle Paul à l’oreille.
— Oui. Oui. Ne t’arrête pas, prends-moi, j’ai envie. Oui, j’ai envie.
— Il s’appelle Franck.
Je mets un moment pour comprendre. D’ailleurs je sens qu’entre mes cuisses le matelas bouge. Je sens que l’on tire sur la ficelle ...
... pour extraire l’œuf. Je sens une bite se frotter à ma fente, jouer avec mon clito.
— Je…
— C’est lui que tu viens de sucer. Veux-tu qu’il te prenne ?
— Paul, je…
— Il est beau. Sa queue est une merveille. Si tu dis oui, je pourrai vous regarder. Réaliser un rêve. Te voir avec un homme. Dis oui, ma chérie.
C’est plus un hochement de tête qu’un véritable oui.
L’homme m’envahit aussitôt. Sa queue me fouille, mais c’est délicieux. Il s’active pendant que Paul commente à mes oreilles. C’est pervers, mais excitant.
— Il te bourre bien… Tu le sens, ma chérie ? Putain, que c’est beau !
— Oui… Oui… Encore…
C’est tout ce que je sais dire.
Et puis je sens qu’on me retire le bandeau. Quelques secondes pour m’habituer, et je découvre le visage de l’homme. Son visage. Son corps. Et lorsqu’il se retire, j’entrevois la grosse bite qui me possède. Et puis, juste à côté, Paul, nu lui aussi, sa bite dressée comme un mât de chapiteau. Il ne cesse de mitrailler la scène.
Je me laisse aller. Maintenant je ne suis plus que plaisir, ondes bienveillantes qui me traversent. L’homme me couvre littéralement. Ses bras sont des poteaux qui le soutiennent. Sa bouche caresse mes seins. Ses coups de reins sont violents. Sa queue me laboure, mais c’est si bon…
Et ce regard. Le regard de mon mari qui cherche à capter toute la scène. Une grimace fugitive, une ride de plaisir. La sueur qui suinte du corps de mon amant. La puissance et la beauté de cette bite que j’entrevois toujours ...