1. Le passé recomposé


    Datte: 10/04/2018, Catégories: fh, ff, fhh, couple, cocus, hotel, chantage, Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... J’oublie le subterfuge pour n’en garder que les constituants.
    
    Cette chatte inconnue est délicieuse de fraîcheur. Moi aussi je sais ce qu’il faut faire pour donner un plaisir particulier à une femme. Pendant ce temps, mon mari me baise. Une seconde, la pensée qu’il aurait pu inviter un autre homme aussi et que c’est cet autre qui me bourre. Mais non.
    
    — C’est bon… Hein, chérie, c’est bon ?
    
    Comment répondre, le visage soudé à l’intimité de la femme ? Un grondement suffira. De toute façon, il a la réponse à la façon dont je cherche sa queue, poussant mon ventre à sa rencontre.
    
    Pendant combien de temps me baise-t-il avec une ferveur de jeune adolescent pour sa première fois ? Mais un adolescent qui sait se retenir. Pas de ceux qui se sont payé uneEscort et qui jouissent au bout de quelques secondes.
    
    Je suce. Je lèche. On me laboure. C’est bon. C’est bon. J’ai la satisfaction d’entendre la femme gémir de mes caresses et couler sur moi.
    
    — Je viens ! Je viens ! s’écrie une voix déformée par le plaisir.
    
    Il vient, et c’est ma grotte qui le reçoit. Une grotte déjà humide, mais vite submergée par la semence de Paul.
    
    Le soir à la maison, les enfants couchés, mon esprit vagabonde. Je vois bien que mon mari aussi est perdu dans ses pensées. Mon Dieu, combien sont lourds de sous-entendus nos regards échangés ! Mais Paul a demandé – et il a raison – que nous construisions une barrière entre ce que nous vivons à l’extérieur et notre vie de couple. C’est difficile. ...
    ... Oui, c’est difficile de ne pas lui dire combien j’ai apprécié ce moment. Une fois que notre trio a repris ses esprits, on m’a reconduite sans un mot dans ma chambre. La porte fermée, j’ai pu enlever mon masque et découvrir dans la glace de la salle de bain mon visage ravagé par le plaisir et les traces de la femme.
    
    Je me demande si la femme qui me donne la clé ne se doute pas de quelque chose, mais j’ai perçu de l’intérêt et une drôle de lueur dans son regard lorsqu’elle m’a souhaité « un bon séjour ». Pourtant, depuis quelque temps elle doit être habituée. Depuis que son hôtel accepte de louer certaines chambres en journée, grâce à une application récemment mise sur le marché.
    
    Il faut dire que cette expérience a ouvert de nouveaux horizons. Mon maître-chanteur ne manque pas d’imagination. Bien entendu, les séances Skype continuent, Paul ne se lassant pas de m’entendre raconter certaines de mes aventures avec des clients. Parfois je dois travailler avec un plug en permanence. Mais c’est avec plaisir que j’ai reçu l’ordre de retourner dans cette chambre d’hôtel. Que va-t-il inventer ? Quel fantasme veut-il exaucer ?
    
    Comme l’autre fois, j’attends avec ce masque parfaitement étanche. Entendre la porte s’ouvrir m’émeut encore. On me prend par la main. Cette fois, je fais attention, et c’est une main puissante, une main d’homme.
    
    On me laisse seule, mais aussitôt la voix nasillarde m’ordonne :
    
    — Enlevez votre robe.
    
    Malgré la déformation, j’ai appris à reconnaître ...
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