Atterrissage caliente à Fuerteventura (3)
Datte: 24/06/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Nostagique44, Source: Xstory
... un peu d’énergie en me reposant. Après avoir tiré les tentures opaques de la porte-fenêtre donnant sur la terrasse afin de plonger le salon dans une pénombre reposante, je passai dans la chambre à coucher. Le lit paraissait me tendre les bras. Je m’allongeai et fermai les yeux. Seuls les cris des enfants jouant dans la piscine se faisaient entendre.
Il me restait encore quelques heures pour me reposer avant de reprendre mon vol. J’espérais bien en profiter ! Je ne sais pas pourquoi je me mis à penser à Eva. Son visage, son corps de déesse me remplissaient l’esprit. Lorsque je copulais avec Victoria, est-ce qu’en réalité je ne faisais pas l’amour à Eva ?
* * *
Je me trouvais dans le cockpit du « Stadt Kassel », mon Boeing 737-400 de la Wings Air, confortablement installé dans mon siège de commandant de bord que j’avais au préalable fait pivoter, le dossier face au tableau de bord, et que j’avais incliné en position repos. J’étais assis les jambes écartées, le pantalon descendu aux chevilles. Entre mes jambes, une femme s’évertuait à me faire du bien, mon sexe dans sa bouche. Je voyais seulement ses cheveux qui recouvraient son visage, et ses fourreaux d’épaules qui me disaient que c’était un deux galons : un copilote ; et pourtant mon copilote n’était pas une femme, mais Erwin…
Je sentais sa langue sous mon gland, me caressant, me massant, me laissant dans un bien-être indéfinissable, le même que devaient ressentir les pachas ou les califes lorsqu’ils étaient ...
... adulés par les houris de leur harem. La bienfaitrice tenait la base de mon sexe dans sa main. Lorsqu’elle releva la tête, je reconnus Eva. Mais que faisait-elle là ? Je me souvenais que ce matin elle était repartie pour Nantes ; elle ne pouvait pas être de retour, et en plus elle n’appartenait pas à ma « crew ». Quelque chose ne tournait pas rond !
Je vis la porte de communication s’ouvrir, laissant passer Ingrid, notre chef de cabine. Elle s’avançait vers moi, de profil, avec le chemisier dégrafé, les seins à l’air qu’elle approchait de ma bouche. Je n’ai jamais pu résister à de beaux seins ; ce n’est pas de ma faute, c’est ainsi. Je voulus gober l’un de ses tétons tout en tenant la tête d’Eva sur ma queue…
J’ouvris les yeux. J’étais allongé sur mon lit dans la chambre du bungalow, nu comme un ver, les jambes écartées. Victoria était allongée entre mes cuisses, en appui sur ses coudes, les lèvres à proximité de mon sexe en érection, tout mouillé de sa salive. Elle me regardait de son regard noir charbon.
— Qui c’est, Eva ? C’est ta femme ?
— Non. Une fille que j’ai rencontrée ici à l’hôtel. Pourquoi me parles-tu d’elle ?
— Tu étais endormi quand je t’ai rejoint au lit. Tu bandais commeun burro (un âne) ; donc j’ai voulu me régaler avec tacuca. Tu as mis tes mains sur ma tête pour enfoncer tacuca au fond de ma gorge et tu m’as appelée Eva en me disant quelque chose en français.
— Donc j’ai rêvé.
—Si Señor ! Et ça devait être un beau rêve puisque tu donnais des ...