L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (8)
Datte: 24/06/2020,
Catégories:
Trash,
Auteur: antonin mordore, Source: Xstory
... de cyprine…je ne me mis pas longtemps à comprendre et nettoyai la palette avec ma langue. Puis Évelyne se mit à cingler les fesses de Rebecca avec son « instrument de torture », lui tirant gémissements et cris de douleur.
Les fesses bien rougies de ma mère, Évelyne admira son œuvre, et glissa alors sans ménagement un index dans le petit trou de Rebecca, tout en passant son autre main entre ses cuisses pour atteindre le petit bouton qu’elle masturba avec vigueur. Rebecca ne tarda pas à avoir un nouvel orgasme très expansif :
« Alors Petite pute tu as encore bien joui ?
— MMhhummm… oui Docteur…
— Tu sais que j’ai envie de te voir faire des choses très vicieuses avec ton fils…
— Quoi donc Docteur ?
— (Une gifle sur un sein), c’est moi qui pose questions et réponses ici Petite pute, toi tu obtempères !
— Oui Docteur. »
La soumission de ma mère à cette femme était totale, mélange d’abjection de délire torride.
La psy mit sa cravache sous la gorge de Rebecca et la força à se lever, elle lui tordait le sein gauche de sa main. Ma mère à moitié étranglée par la pression de la cravache et son sein malmené déglutissait et gémissait.
Évelyne remonta son genou et le plaqua dans le creux des reins de ma mère, la forçant à se cambrer dans ma direction, puis elle quitta le sein et dirigeant sa main sur sa chatte, elle plaça deux doigts devant sa grotte et lui écarta les grandes lèvres, découvrant à 50 centimètres de mes yeux ébahis, petites lèvres, clitoris ...
... turgescent et grotte luisante de cyprine :
« Alors il est pas beau l’abricot de ta petite « moman »… mais tu n’y auras pas droit…du moins pas pour le moment, (avec un regard très vicieux).
Non aujourd’hui je vais t’offrir…sa bouche de petite salope !
Mon grand, grâce à ma générosité tu vas te faire sucer par l’auteure de tes jours ! Alors heureux ?
(Un coup de cravache sur ma joue) réponds petit con, quand je te parle !
-Aie !…oui madame…
— Docteur !!! Connard !!! Tu me refais ça encore une fois, je sors le gode ceinture et je t’encule sans lubrification ! Compris petit con !
— Oui Ma…heu Docteur…
— Allez Petite pute, à genoux devant ton fils, tu le déshabilles et tu lui suces la bite… »
Ma mère croisa mon regard alors qu’elle me déboutonnait mon jean et me baissait mon boxer ; elle ouvrit aussi ma chemise, présentant mon torse nu au docteur, un regard plein de mépris, mais aussi d’une vivacité lubrique peu commune.
Je ressentais que ma mère me méprisait toujours, mais qu’elle avait envie de ma queue et que surtout ce qui l’excitait, c’était d’être entre les mains de sa « Maitresse » et d’exécuter tous ses caprices. Je sentis également à son regard que contrairement à la dernière fois, elle pousserait sa fellation jusqu’au bout, qu’elle me permettrait de jouir dans sa bouche et qu’elle avalerait jusqu’à la dernière goutte de mon sperme comme une succube vorace.
Rebecca passait encore un degré, dans les méandres torrides de sa nouvelle vie sexuelle ...