1. L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (8)


    Datte: 24/06/2020, Catégories: Trash, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    J’étais comme un fou…
    
    Avoir sous les yeux ces deux femmes, ma mère, brune et sexy en diable se faire caresser par ma psychanalyste, une belle blonde de 43 ans à la poitrine opulente…mon fantasme réalisé d’amour saphiques. Le problème c’est que j’étais attaché sur mon siège, et à part avoir une grosse érection et jouir du spectacle, rien d’autre ne m’était autorisé ! Rebecca, ma mère, s’assit sur le bureau, les jambes bien écartées, Évelyne venait de lui descendre sa robe jusqu’aux pieds… et c’est une femme splendide en porte-jarretelles noir sans string, qui me faisait face, moi toujours emprisonné dans ce maudit fauteuil. Puis la psychanalyste, toujours les deux mains sur les seins de ma mère, qu’elle commençait à un peu malmener, plaça son visage à l’entrée du sexe de ma mère, qui était déjà béant d’excitation et commença un cunnilingus dont les femmes ont le secret entre elles.
    
    Ayant bien chauffé ma mère, qui sous le coup des caresses buccales de son amie, commençait à gémir de satisfaction, elle se redressa et commença à maltraiter les seins de ma génitrice.
    
    « Alors Petite pute tu as aimé mon cunnilingus ?
    
    — Oh oui Docteur, qu’allez-vous me faire à présent ?
    
    — M’occuper de tes seins de salope (et la giflant assez fort sur un sein), ça c’est pour m’avoir amené ton crétin de fils qui est trop bête pour s’occuper d’une femme…
    
    Avec ce que je le lui ai mis sous les yeux, un garçon normal m’aurait déjà plaquée sur le bureau, et baisée à couilles rabattues. ...
    ... »
    
    Ma mère criait sous les claques qu’elle prenait sur les seins, je dois avouer que le spectacle m’excitait beaucoup. J’avais l’impression que la psy me vengeait des arnaques de ma mère. Et puis une idée angoissante se fit jour dans mon esprit. Après s’être occupée de ma mère, j’étais sûr que mon tour viendrait : qu’allait donc me faire cette femme dominatrice et sadique ? D’autant qu’avec ce que prenait ma mère, elle allait aussi me le faire payer. Je commençais à comprendre le cheminement psychologique et le mécanisme de vices dans lequel j’étais entré bien malgré moi. La psy dominait ma mère, la « violentait » un peu, en disant qu’elle payait pour mes fautes. Puis ma mère se vengerait sur moi, dernière pièce de soumission de ce trio diabolique.
    
    La psy, le docteur Sarah Sirkosky, Maitresse Évelyne pour les soumis ou soumises, où quand elle officiait en son cabinet « Docteur », était une véritable Domina…de celles qui aiment humilier et violenter parfois férocement, ceux ou celles qui viennent de leur plein gré se jeter dans ses griffes de féline.
    
    Je devais apprendre plus tard que les deux femmes s’étaient rencontrées par hasard, sur une terrasse de café, et ma mère jouant de ses charmes, lors de ses nombreuses « parties de chasse », n’avait eu aucun mal à séduire la jolie blonde de 43 ans. Elle fut un peu surprise quand, lors de leurs premiers ébats, cette dernière avait demandé si elle pouvait l’attacher aux montants du lit et lui bander les yeux, nue allongée sur le ...
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