1. L'institution ST Catherine, ou le dévoiement de ma mère...Journal d'une bourgeoise delaissée. (8)


    Datte: 24/06/2020, Catégories: Trash, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... ventre. Ma mère avait accepté, désireuse de connaitre de nouvelles expériences érotiques…et quand Sarah, enfin Maitresse Évelyne, lui révéla sa véritable nature et ses pratiques un peu spéciales et piquantes, cette dernière n’avait pas bronché, ressentant les élans d’un nouvel orgasme la saisir, alors que la main implacable du docteur s’abattait à un rythme soutenu sur ses fesses offertes.
    
    Depuis ma mère était devenue « Soumise Rebecca » ou « Petite pute » pour la psy…
    
    La psy pinça fortement le téton droit de ma mère, tandis que de la main droite elle lui introduisit deux doigts dans sa fente. Elle commença à la limer de plus en plus vite. Les doigts ressortaient enduits de cyprine, gluants même. Ma mère prenait beaucoup de plaisir à cette intromission assez violente dans son sexe. Elle poussa une longue plainte.
    
    Un troisième doigt rejoignit les deux autres et dans un orgasme et un cri de jouissance, ma mère eut une « éjaculation », un long jet de cyprine qui me mouilla la chemise.
    
    Évelyne, les doigts dégoulinant de la cyprine de ma mère, eut un grand rire en me regardant, moi, avec mon air bête et ma chemise souillée.
    
    Elle me tira les cheveux de la main gauche, m’obligeant à courber la tête en arrière, et alors que j’ouvrais la bouche de surprise et de douleur elle enfourna ses doigts gluants dans celle-ci. Je sentis le goût de la mouille de ma mère, pas désagréable au demeurant, et des gouttes descendre au fond de ma gorge :
    
    « Alors elle a bon goût ta « ...
    ... moman », petit con ? Allez lèche tout, nettoie moi la main. »
    
    Le ton était très autoritaire et j’obéis, la tête toujours tirée en arrière.
    
    Mon Dieu sur quelle harpie étais-je tombée ? Je fus obligé de lui lécher entièrement la main, doigts par doigts. Le fait de me sentir dominé par cette femme de 43 ans m’excitait beaucoup, je devais bien me l’avouer. Ainsi moi le petit puceau de 18 ans, je venais de goûter à la cyprine de ma mère, et pas qu’un peu. J’étais à la fois terrifié par les choses qu’elle allait m’imposer, mais en même temps très pressé de voir ce qu’elle avait prévu pour ma mère avec moi. Car je sentais bien qu’elle allait nous imposer des choses pas très « catholiques » entre une mère et son fils.
    
    Puis elle retourna s’occuper de Rebecca, lui ordonna de se placer debout, puis courbée à angle droit sur le bureau, avec les seins écrasés sur la plaque de verre. Ainsi soumise, ma mère me présentait son magnifique petit cul, elle avait évidemment les cuisses toujours écartées, si bien que j’avais une vue plongeante sur son petit abricot, qui me paraissait bien savoureux.
    
    Évelyne alla fureter dans un tiroir, et revint vers nous avec un petit objet métallique rattaché à une ceinture harnais, ainsi qu’avec une cravache.
    
    Elle commença par limer l’entrecuisse de ma génitrice, lui passant la palette de la cravache entre les lèvres, ce qui tira force gémissements de la part de cette dernière. Elle la retira du fourreau maternel pour m’en présenter le bout enduit ...