1. UN BON MOMENT...


    Datte: 23/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... lui-même.
    
    - C’est vrai, elle mouille bien !
    
    - Oui ! J’ai la chatte en feu ! S’exclama-t-elle.
    
    Les doigts s’enfonçaient sans difficulté dans la vulve accueillante provoquant des clapotis en la fouillant. Elle s’était elle-même retirée des phalanges intrusives pour poster ses jambes écartées au-dessus de la tête du stagiaire, qui devait apprécier le spectacle. Elle plaqua les mains contre le dossier du divan pour se maintenir. Puis elle se baissa comme elle l’aurait fait pour pisser. Et ça à bout touchant sur la figure de Ludovic. Elle écartait les pieds afin que sa fente exposée s’ouvre au maximum. Elle bougeait les fesses pour ne pas étouffer le jeune stagiaire. Mais pour aussi diriger la manœuvre comme elle le faisait quelques fois avec moi. De temps à autre elle donna des coups de reins lubriques pour que Ludovic la lèche partout, même entre les fesses. Elle faisait sa toilette intime avec la langue du stagiaire. J’entendais le jeune homme respirait bruyamment alors qu’il suçait comme si sa vie en dépendait. La face barbouillée de mouille. Ivre aussi des parfums intimes de ma femme. Que je connaissais parfaitement.
    
    - Plus haut ta langue… plus haut ta langue ! Lui aboyait-elle.
    
    La connaissant très bien, elle voulait jouir, et vite. Elle s’immobilisait, soulevant sa jupe pour regarder entre ses cuisses. Sous la toison Ludovic lui bouffer la chatte avec vigueur. Elle leva la tête pour me fixer, tout en poussant des gémissements saccadés, comme si elle forçait. ...
    ... Je posais la main sur le cul frémissant. De l’autre main je malaxais les seins à travers le soutien-gorge. Au bout d’un moment sa bouche lâcha un drôle de couinement. S’affaissant sur la bouche du stagiaire. Pas le temps de reprendre son souffle que le pauvre stagiaire fut agrippé par les cheveux et forcer à prendre place sur le divan. Avec des gestes nerveux, elle extrait la verge de sa cachette. Qui se dressa devant ses yeux. Elle semblait sur le point d’exploser tant elle était congestionnée et raide.
    
    Sans perdre de temps, ma femme s’installa à califourchon au-dessus de la verge raide. Elle frotta le gland contre son clitoris. Doucement d’abord, avant d‘accélérée le rythme au fil des secondes, accompagnant le mouvement de petits cris. Je sortais la mienne de sa
    
    Niche. Entre temps la chatte de ma femme avait engloutit la verge du stagiaire. Devant mes yeux, le cul de ma moitié n’arrêtait pas de monter et descendre le long de la queue luisante de sécrétion. Le jeune homme ne donna pas sa part au chien. Remuant son bassin. Se calquant à celui de sa partenaire du jour. Je me suis approché d’eux à les toucher. Je forçais ma femme à se pencher contre le torse du stagiaire. Je promenais ma verge le long de la raie en sueur. Jusqu’à l’entrée de son anus. Elle creusa les reins pendant que je pliais les genoux pour mettre ma queue à la bonne hauteur. D’un mouvement lent mais continu, j’enfonçais mon sexe dans l’anus dont les contractions l’aspiraient. Elle cria
    
    - Ooooh ! Que ...