UN BON MOMENT...
Datte: 23/06/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Alainylon, Source: Hds
... feuille de sa poche arrière de son pantalon, et il sortit de l’intérieur deux clichées qu’il tendait d’une main tremblante à ma femme. Qui ! En parfaite comédienne, fit semblant de s’y intéresser.
- Je te l’accorde. Elle possède une belle poitrine.
- Mais je trouve chérie, que la tienne est plus gonflée. Mais bon cela ne tiens qu’à moi. Qu’en dis-tu Ludovic ?
- Je ne… sais pas.
- Il faudrait pouvoir comparer, ajoutais-je.
- Bien sûr, tout de suite. Renchérit ma femme.
En deux gestes trois mouvements, elle fait passer son tee-shirt par-dessus la tête et baissa les bretelles de son soutien-gorge, exhibant ses beaux seins ronds de leurs bonnets. Séduit, Ludovic resta muet, incapable de détacher les yeux de la poitrine. Aux tétons roses déjà dressés par l’excitation. Il m’en fallait pas plus pour que je sente mon sexe s’affermir instantanément. Comme j’en étais certain, qu’à cet instant ma femme mouillée le fond de sa culotte. Elle s’approchait du jeune homme. Le fixant droit dans les yeux, tout en remuant ses appas.
- Alors qu’est-ce que tu en dis, garçon ? Lui susurra-t-elle.
- Ils sont… splendides ! Réussit-il à articuler le stagiaire.
Après cette distraction, elle remettait ses charmes dans ses nids en dentelle. Omettant de remettre son tee-shirt.
- Je vous sers une part de tarte aux pommes avec vos
Cafés ?
- Avec plaisir ma chérie.
J’attendais qu’elle disparaisse, pour interroger mon stagiaire.
- Eh dis-moi ! Son cul tu le trouves ...
... comment ?
- Heu ! Je ne sais pas…
- Ne te fiche pas de ma gueule, je t’ai surpris en train de le reluquer.
- C’n’est pas vrai…
- Qu’est-ce qu’est pas vrai ? Fit ma femme en pénétrant le salon. Un plateau en mains, qu’elle posa sur la table basse son postérieur tourné vers nous. Alors qu’elle s’apprêtait à se redresser, je lui ordonnais :
- Reste comme ça, que Ludovic puisse aussi admirer ton cul !
Elle appuyait ses mains sur la table et se cambra. Je n’hésitais pas un seul instant de lui remonter sa jupe sur ses reins. Dessous elle portait une petite culotte de dentelle noire. Délicatement, je la glissais le long de ses jambes gainées de bas, noirs eux aussi. Et cela jusqu’à lui dévoiler son cul rebondi. Chaude comme de la braise, ma femme ne darda pas de lui commander :
- Si cela te dit, tu peux toucher !
J’exultais devant l’état du jeune stagiaire. Au lieu de se jeter sur le cul comme il lui était demandé, il me regarda comme pour me demander la permission.
- Vas-y, mon vieux, dis-je. Si elle l’exige.
Sans quitter sa place, tout en tendant les bras, il se contenta d’abord d’effleurer la croupe tendue. S’enhardissant, il en palpait les formes en couvrant toute la surface. Ma femme lâcha un soupir.
- N’ai pas peur de glisser ta main entre les cuisses, conseillais-je. Tu vas voir comme elle adore cela la cochonne…
Il ne se l’ai pas laissé dire deux fois. Il aventura sa main dans les replis les plus intimes de ma femme, murmurant comme pour ...