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UN BON MOMENT...
Datte: 23/06/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds
- Il serait possible que tu me déposes devant la grande surface. - Ce n’est pas l’heure de faire des courses mon petit bonhomme. Fis-je à mon stagiaire. - Ce n’est pas pour des courses, j’ai seulement des clichés à faire développer. Et c’est urgent. - Bon d’accord ! Mais pas deux heures… - Je te promets de faire vite. Et il a sauté sur fourgon. Le petit bonhomme se nommait Ludovic et il était depuis six mois chez nous. Malgré mon fort caractère il se plaisait de m’accompagner à chacune de mes interventions. J’ai dû patienter un bon moment avant de le voir réapparaître. - Mais qu’est-ce que tu as foutu ? J’étais près à te laisser là. Il y a du boulot, merde ! - Excuse-moi, j’avais du mal à faire fonctionner la machine. - Ouais ! Répondis-je en démarrant. Alors qu’en charrier le matériel du fourgon jusqu’au préau, il n’arrêtait pas de me vanter le physique de sa copine. Je lui ai bien fait comprendre que je m’en foutais. Mais il assista fortement. Au point de me faire défiler les clichés de sa belle sous les yeux. Avec des commentaires mi-amoureux, mi-vulgaire. J’aurais été mal placé pour lui jeter la pierre d’aimer ainsi exhiber les charmes de sa douce. Pour l’avoir à plusieurs reprises, exhiber la mienne à qui voulait la voir. Mais si visiblement elle avait été volontaire pour poser devant l’objectif de son copain elle devait ignorer qu‘il l’étalait à la vue de son collègue. J’ai glissé simplement au passage quelques réflexions sur le fait que ...
... je préférerais les femmes plus poilues. - Oui mais Maude préfère s’épiler. - Les goûts sont dans la nature ! Comme il se dit. Cela le fit sourire. Le soir je n’ai pas manqué de faire le récit de ce petit épisode à ma femme. - Mais hormis que sa copine est chauve de la chatte, lui est montée comme un âne. - Parce que tu l’as vu ? - Oui ! Sur certains clichés, oui. Mentais-je. - Ah oui ! Cela est intéressant. Répliqua ma femme. - Tu bosses comment demain ? - Je suis du matin. Pourquoi ? - Je vais peut-être passer prendre un café en sa compagnie. - Je te vois venir, toi ! - Ah oui ! Tu crois ? Comme promis la veille, j’attirai le cher Ludovic dans les filets de ma femme. Aussitôt ma complice lui décrocha un de ses sourires enjôleurs dont elle en a le secret. Et qui augmenta le trouble déjà visible du jeune homme. Je n’ai pas attendu longtemps pour lancer les hostilités. Attendant pour ça d’être seul avec mon invité. - Alors, murmurais-je à mon stagiaire. Tu ne trouve pas ma femme appétissante. - Bien sûr, elle est superbe. - Cathy ! Appelai-je. - Oui ? S’écria-t-elle. - Il prétend que sa copine a une plus belle poitrine que toi… Surpris, il m’a regardé effaré, alors que ma femme fit son apparition parmi nous. - Je peux voir, fit-elle. - C’est… que… - Tu as bien gardé une photo ? Lui lançais-je. - Oui… mais. Bafouillait-il. - N’est pas honte. J’ai mis ma femme au courant. Non sans mal, il extirpa son porte ...