1. Promotion sur Canapé


    Datte: 21/06/2020, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... la qualité d'un restaurant quand il s’agissait
    
    de sauter une petite. Je n'eus pas de peine à la faire boire. Elle était
    
    tout excitée et me caressait du pied sous la table. Je lui fis observer
    
    que nous étions entourés et que cela susciterait du scandale. En outre
    
    nous avions plus de vingt ans de différence et que je pourrais être son
    
    père. Elle rit protestant qu’elle avait été toujours attiré par le style
    
    d'homme mur et de pouvoir. Elle regrettait maintenant de ne pas m'avoir
    
    dit oui la première fois. Je lui proposais que nous passâmes ensemble
    
    l'après-midi.
    
    Je me faisais fort de l'excuser auprès de son chef de service. Je
    
    demandais cependant si son amant ne lui ferait pas de scène. Elle me fit
    
    comprendre que celui-ci s'était un peu résigné à cela. N'étais-ce pas un
    
    peu le prix pour qu'elle demeurât encore dans le service. Je m’exclamais
    
    heureux et triomphant : « En gros. Tout le monde y trouve son compte.»
    
    Dans la hâte nous ne trouvâmes qu'un hôtel vulgaire en sortir
    
    d'autoroute. La chambre était sommaire. Nous nous jetâmes l'un sur
    
    l'autre tels deux morts de faim. Je ne fus pas peu impressionné par sa
    
    fougue.
    
    Elle s'accroupit ...
    ... malicieux tel un singe et m’extirpât la bite pour la
    
    branler et sucer. Le doute me traversât qu’elle ne suçait pas qu'un mari
    
    et Didier. Cette dextérité signalait plutôt la garce et salope férue de
    
    ce genre de geste avec moults hommes. J'eus du repérer son vice avant.
    
    J'eus du réitérer mon offre de restaurant. Je l'eus obtenu à peu de
    
    prix. Ce Didier était un sot et cette Magalie, une pute. Elle préféra
    
    que je l'entrepris sur le canapé. Elle goûta que je lui léchas la chatte
    
    puis les pieds. J'adorais le frais de cette chair. J'en devins fou à
    
    partir de cet instant.
    
    A mon âge fort avancé je n'avais autant baisé avec une garce. Je ne sais
    
    où je pus trouver pareille énergie pour recommencer tant de fois. Au
    
    propre elle me vidât les couilles. Riant je m'écriais : Tu veux ma mort
    
    ou un arrêt cardiaque ? » Encore que je trouvas bon de mourir de la
    
    sorte. Il m'importait peu du scandale en résultant pour la femme et les
    
    enfants. Je l’assurais de sa promo. C'était acquis. En retour elle me
    
    dit qu’elle savait pour ma précédente maîtresse et qu’elle voulait la
    
    remplacer si je voulais. Didier accepterait. Nous baisâmes encore au
    
    seuil de nos vacances. 
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