1. Promotion sur Canapé


    Datte: 21/06/2020, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... je lui demandais s'il était vrai qu'elle
    
    voulut demander sa mutation et partir d'ici. Elle me le confirma avec
    
    cette fois un air bravache. Elle était manifestement à bout. D'un ton
    
    méchant et ironique je demandais : »Ce jusqu »au point de laisser notre
    
    ami Didier ? » Comprenant l'allusion et soutenant mon regard elle
    
    répondit : « J'en prends le risque. J'ai envie d'autre chose. »
    
    Réprimant ma joie intérieure, je fis un quart de tour sur mon fauteuil
    
    affectant de réfléchir. Il me fallait porter l'estocade et poser mes
    
    conditions.
    
    J'usais de ces termes. « Je crois autant que Didier que je serais triste
    
    que vous partiez. Vous êtes un bon élément. J’ai trop envie de vous
    
    garder. Je peux faire je crois quelque chose. Seriez-vous disposée cette
    
    fois à déjeuner avec moi ? » Elle sembla ne pas être surprise de ma
    
    proposition. Elle l'avait sûrement anticipé. Elle sourit ajoutant : »Je
    
    vous l'ai dit tout à l’heure. Je regrette amèrement de vous avoir refusé
    
    l'autre fois. Donc c'est oui ! » Je rétorquais : « A moins que Didier
    
    n'y porte son veto ? » Elle répliqua : « Il sera d'accord. Je vous
    
    l'assure. »
    
    Au cours de cette conversation, son comportement avait peu à peu évolué.
    
    Outre qu'elle m'affrontait davantage du regard, elle avait maintes fois
    
    croisé et décroisé ses cuisses en un jeu peu anodin de séduction. De
    
    même le battement d'une mule au bout du pied me signifiait assez une
    
    chose de l’ordre de l'excitation. Ses ...
    ... yeux brillaient. Quelque chose
    
    caractéristique de la garce m'étant si familier. Je vis bien qu’elle
    
    n’avait plus rien à voir de l'oie blanche et qu’elle n’avait cure de son
    
    Didier. Bref je pourrais la sauter facilement. Elle savait ce que
    
    voulait dire déjeuner avec moi.
    
    Dans une semaine je serais vouée à ma seule femme que je baisais
    
    péniblement car sans entrain. J'aurais sur la plage peu d’occasions de
    
    quelques femmes ou gamines vicieuses. Bref le séjour de vacances ne
    
    serait pas la fête du sexe. Aussi escomptais-je m'en dédommager avant.
    
    J'obtins du chef suprême un coup de pouce pour la carrière de Magalie.
    
    Celui-ci était un ami. Il comprit en un clin d’œil que j’avais vent
    
    d’att****r cette fille. Il savait mon dépit récent avec la précédente.
    
    En copains solidaires, il voulut me remettre le pied à l’étrier.
    
    Le surlendemain, la petite était à mes côtés dans la voiture. Elle avait
    
    une robe plus courte que l'autre fois. Elle s'était maquillée plus que
    
    de raison. Elle avait par trop exagéré. J'eus envie de lui dire : Cela
    
    faisait pute. Je m'en gardais et me contentais de lui caresser la
    
    cuisse. Elle se laissa faire. Nous en étions à une conversation sur son
    
    amant Didier. J'étais résolu à savoir si elle l'aimait encore. Elle me
    
    dit sans ambages qu'il la lassait. Elle m'assura qu'elle avait envie
    
    d'autre chose. A un feu rouge je pus l'embrasser. Sa main me caressa à
    
    un endroit particulier.
    
    Je ne mégotais jamais sur ...