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Promotion sur Canapé
Datte: 21/06/2020, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
L'affaire fut rondement menée. Je n'ai pas l'habitude de perdre mon temps. Il se trouvait qu'allait bientôt recommencer les migrations estivales. Je devais notamment me coltiner pendant quinze jours la femme et les marmots. Je goûtais moyennement ce devoir conjugal. Ajoutons à cela que ma maîtresse dans le service m'avait claqué la porte au nez. Pour être précis elle était passée avec armes et bagages chez un chef dessus moi. Ravalant ma rancœur je devais faire bonne figure devant tous ceux qui se réjouirent de mon infortune. Sauf Didier. Celui-ci n'y allant pas par quatre chemins me demandait d’intercéder pour une collègue et amie. Il était notoire que tous deux mariés fricotaient ensemble. Cette amie Magalie était indéniablement un des jolis lots de notre service. Elle m'avait un jour gentiment rembarré me signifiant de son attachement profond à son amant. Loin de m'en offusquer je pris bien la chose. Je convins que leur liaison pouvait mériter le respect. Je n'y décelais rien de sordide ni d'une histoire de cul. Aussi ne fus-je pas peu étonné que ce Didier vint m’appeler à la rescousse. Vraisemblablement Magalie avait du lui parler de ma tentative de drague. Bref Didier me savait bien disposé à l'égard de sa chère Magalie. Celle-ci pour la énième fois se voyait souffler un avancement qu’elle convoitait depuis longtemps. Elle était à bout et prenait mal la chose. En gros elle envisageait sérieusement de demander ...
... sa mutation dans une autre entité où elle aurait plus de chance. Didier avait peur qu’elle lui échappât à jamais. J'avais le bras long. J'avais notamment l'oreille d'un chef suprême. Celui qui distribue les bons points. Je pouvais tout arranger. Je méprisais un peu cet avorton de Didier. D'humeur noire je concevais mal à présent qu'il ait pu séduire et subjuguer une si belle nana. Celle-ci elle-même me renvoyait au désagrément qu'elle m'avait un jour refusé . Avais-je le droit de les aider ? Je crus devoir m’échapper par une pirouette. Je soufflais à Didier qu'il m’envoyât sa miss. Je voulais éprouver son degré de motivation pour la place. Je la reçus. Il faisait chaud ce jour de juin. Une jupe courte et légère lui seyait bien. L'idée me traversa qu’elle était autrement mieux gaulée que mon ancienne maîtresse. La Magalie n'en menait guère large. Penaude elle regardait ses pieds qu’elle avait mignons. Un instinct prédateur m'indiquait de l'opportunité du moment. Le hasard divin avait amené dans mon antre cette biche. Avec une certaine muflerie je lui rappelais la circonstance où elle m'avait refusé un déjeuner ensemble. J'ajoutais sardoniquement que peu de ses collègues avaient dédaigné ce privilège. Je demandais cyniquement si son ami Didier l'avait à l'époque poussé à ce refus. Elle protesta que non. Elle dit qu'elle regrettait à présent. Ce déjeuner n'avait rien que d'anodin. La fixant droit dans les yeux ...