1. Vingt-quatre heures de folie


    Datte: 20/06/2020, Catégories: fh, fplusag, jeunes, amour, dispute, Oral pénétratio, mélo, Auteur: Phileras, Source: Revebebe

    ... comme ça personne ne pourra nous déranger.
    
    La porte condamnée, Alain prend Barbara dans ses bras et l’embrasse avec la fougue d’un jeune homme qui a failli tout perdre. Cette femme dont la tristesse s’efface petit à petit ne lui a jamais paru aussi séduisante :
    
    — Je te remercie de ne pas m’avoir largué tout à l’heure après tout ce que je t’ai fait subir. J’ai été vraiment un moins que rien.
    — N’en parlons plus.
    — J’ai envie de faire l’amour avec toi.
    — Ici ?
    — Oui et tout de suite… si tu veux encore de moi. J’aimerais que le plaisir efface les larmes de tes yeux rougis.
    — Mais on pourrait nous voir.
    — Non, ne t’inquiète pas, la porte est bien bloquée.
    — Debout, ce n’est pas très confortable.
    — Mais qui t’a dit debout ? Les chaises, ça peut aussi servir à ça.
    
    Alain installe la chaise à proximité de la porte de la cuisine, au cas où. Il enlève sa chemise, déboutonne son pantalon, le baisse à ses pieds avec son slip et s’assoit sur la chaise :
    
    — Viens sur moi, Barbara, j’ai envie de sentir à nouveau ta peau contre moi.
    — Tu veux que je me déshabille complètement ?
    — Non, tu peux garder ton fichu sur la tête.
    — Alain, tu deviens presque pervers.
    
    Barbara se déshabille, pose sa longue robe et ses sous-vêtements sur la table de la cuisine et s’approche d’Alain, en chaussures avec des talons assez hauts et son foulard sur la tête. Le spectacle est presque irréel. Il y a quelques minutes, cette femme était en train de pleurer, et maintenant, avec sa tenue, ...
    ... elle enflammerait un régiment au complet. Elle s’adresse à Alain en premier :
    
    — Je suppose que c’est encore à moi de prendre des initiatives.
    — Bien sûr, tu m’as prouvé ce matin que tu savais parfaitement maîtriser le plaisir de ton jeune amant.
    — Alors, laisse-moi faire, bien que tu ne le mérites pas tout à fait.
    — Ne me parle plus de ce qui s’est passé, c’est une erreur de jeunesse. C’est la première fois de ma vie que j’ai fait une telle bêtise.
    — Je vais t’offrir mon corps, Alain, caresse-moi partout pendant que je m’occupe de toi.
    — Tu n’avais pas besoin de me le demander.
    
    L’excitation accentue la tristesse du regard de Barbara. Elle prend la tête de son amant dans ses mains, l’embrasse avec déchaînement et met tout son corps en action pour exalter son désir. Alain se laisse faire, il décompresse, le choc a été trop fort pour lui. Alors, petit à petit, son esprit peut prendre son envol. Du bout de ses doigts il effleure le corps de Barbara qui réagit par de petits frissons.
    
    Quand Barbara commence à frotter très sensuellement ses seins contre le torse d’Alain, leur excitation commune prend de l’ampleur. Barbara saisit le sexe d’Alain pour le faire pénétrer au plus profond et au plus chaud de son univers de femme. Tous ses sens sont en éveil, l’extrémité de ses seins est de plus en plus dure, son ventre et ses cuisses de plus en plus fermes, son corps de plus en plus chaud.
    
    L’entrée de sa chatte se contracte doucement, aspirant inéluctablement en elle le ...