1. La bourgeoise et le marabout (45)


    Datte: 19/06/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: hélène75, Source: Xstory

    ... brouillard ouaté ; quelques lampadaires éclairent la cour en diffusant une lueur orangée. Histoire de bouger un peu pour ne pas prendre froid, je me dirige vers les écuries. J’entre par la première porte que je vois et me promène dans le long couloir qui donne accès aux différentes boxes. L’endroit sent la paille et l’animal, c’est enivrant ! Certains chevaux sont immobiles et dorment debout, d’autres mangent du foin en silence. L’un d’entre eux me regarde, je m’approche de la boxe et tends la main. L’animal se rapproche un peu craintif, mais se laisse finalement caresser sur le chanfrein, j’en profite pour lui arranger son toupet comme si je le coiffais. Il est doux et ce contact avec sa peau me donne la chair de poule. L’animal se tourne un peu sur le côté et je peux maintenant lui caresser le dos et la croupe. Je laisse aller ma main sur lui et il semble apprécier ce contact.
    
    Je remarque soudain que l’animal est un étalon, car son sexe est sorti de son fourreau et pend sous son ventre. Par jeu, ma main commence à descendre le long de ses flancs et j’essaye de voir si cela lui fait de l’effet.
    
    Soudain, une voix forte interrompt mon action et me fait sursauter
    
    — Mais qu’est-ce que vous foutez ici ? Vous n’avez pas le droit d’être là !
    
    Je me retourne brusquement et découvre le palefrenier qui vient de s’adresser à moi. Il doit avoir la quarantaine, les cheveux bruns, les yeux noisette et n’est pas d’un gros gabarit. Je lui réponds.
    
    — Bonsoir. Je suis l’une ...
    ... des invités de Monsieur de la Roche-Faron et j’avais besoin de prendre l’air. Comme j’aime les chevaux, je suis venue leur rendre visite.
    
    Le visage de l’homme se détend et il me dit d’une voix plus calme.
    
    — Excusez-moi, Madame de vous avoir fait peur. Je m’appelle Pierre et c’est moi qui suis chargé de surveiller les écuries cette nuit. Nous faisons cela à tour de rôle.
    
    L’homme porte des bottes, est vêtu d’un vieux pantalon de velours ainsi que d’une chemise épaisse en tissu écossais et porte une casquette sur la tête.
    
    Il ajoute :
    
    — Belle comme vous êtes, c’est pas vraiment une tenue pour venir traîner dans les écuries. Vous allez vous salir.
    
    Je lui fais un grand sourire et lui réponds :
    
    — Ne vous inquiétez pas. Dès que je serai rentrée à Paris, ma robe ira au pressing.
    
    Très certainement ravi d’être en aussi agréable compagnie, Pierre enchaîne :
    
    — Souhaitez-vous visiter le reste des écuries ?
    
    Ses yeux se mettent à briller lorsque je lui réponds :
    
    — Avec plaisir, marcher va me réchauffer un peu.
    
    Quelques instants plus tard, nous sommes dans une autre aile du bâtiment et le palefrenier m’indique que ce sont les jeunes chevaux et les poneys qui sont hébergés ici. A plusieurs reprises, nous nous arrêtons pour regarder les animaux de plus près et caresser ceux qui veulent bien se laisser faire. Je remarque alors que Pierre me colle de plus en plus près et n’hésite pas à me prendre la main lorsque j’ai peur de me faire mordre en me disant.
    
    — ...
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