1. Une divine surprise - 1


    Datte: 18/06/2020, Catégories: Première fois Auteur: Puceron, Source: Hds

    ... effaroucher, j’avais tout faux. Evelyne se leva et me dit : « Viens ».
    
    Elle se dirigea dans la pièce contiguë qui devait être la chambre à coucher dans laquelle il y avait un canapé lit. Pendant qu’elle remontait sa jupe jusqu’aux hanches elle me redit « viens ».
    
    Bien que me défaisant rapidement, je remarquais qu’elle était nue sous sa jupe, sur le moment cela ne fit qu’augmenter mon excitation. Avec le temps, je commençais à comprendre qu’en fait elle voulait une queue et qu’elle avait certainement, envie de se « taper » un jeune. Par chance j’étais là et c’est pour ça que j’avais été choisi.
    
    Elle se laissa tomber sur le canapé en m’entrainant avec elle, je me trouvais entre ses cuisses largement ouvertes et elle prit, de nouveau, les choses en main, la chose étant dure à éclater et prête à servir. Elle me guida en elle. Je m’enfonçais dans une grotte ouverte chaude et détrempée. Et là, même si je n’avais pas grande pratique, je connaissais la théorie et je savais qu’elle voulait être baisée. J’entrepris un va et vient rapide, elle était tellement chaude et demanderesse de queue que rapidement sa respiration s’accéléra et se mit au rythme de mes pénétrations. Puis vinrent les « OH … OH … OH OUI … OUI OUIiiiiiii,, … »
    
    L’avantage d’Evelyne, et cela je l’appris plus tard, toutes ces dames ne sont pas aussi bavardes ...
    ... pendant la baise. Son avantage c’est qu’on savait ou on en était.
    
    Le rythme s’accélérant elle dit « Retiens toi, …, je sens que je vais jouir,… oh c’est bon, … continues , … surtout ne t’arrêtes, oui, …, oui, … retiens toi, …», je faisais tout ce que je pouvais pour me retenir, mais se cambrant brusquement, ce qui fit que surpris, n’y tenant plus et bien enfoncée dans sa grotte je me vidais brutalement d’un seul coup.
    
    L’un contre l’autre, j’appréciais ce moment, qui ne dura que peu.
    
    Evelyne, se levant, rabaissa sa jupe et se dirigeant vers la salle de séjour, dit « Je range les cafés et on va aller prendre l’air »
    
    Nous sommes descendus dans la rue, fait le tour du bâtiment et derrière nous nous sommes retrouvés dans un petit square, tranquille et fort agréable. Prenant place sur un banc, Evelyne se colla « amoureusement » contre moi. J’étais un peu réticent non pas de l’avoir contre moi mais d’être vue par quelqu’un la connaissant. Evelyne se rendit compte de ma gêne et me dit « ne t’inquiète pas nous ne venons jamais ici ». Donc séré l’un contre l’autre, nous avons devisé gentiment et il devait être 5,00 heures, quand elle se leva en disant « Il faut que je rentre » et embrassant son index elle le mit sur mes lèvres et partit sans se retourner. Je n’ai pas su quoi faire et c’était peut-être le mieux, qu’aurais-je pu dire ? 
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