1. Une divine surprise - 1


    Datte: 18/06/2020, Catégories: Première fois Auteur: Puceron, Source: Hds

    ... Mme Evelyne B. me dit : « Jean tout le monde m’appelle par mon prénom, arrêtes avec tes Madames »
    
    « Bien Madame, oh pardon bien Evelyne »
    
    Dans le courant de l’après-midi, Evelyne étant en discussion avec une cliente, des corsages ou autres articles étalés sur une banque, je devais passer entre elle et des casiers le long du mur. Le passage était étroit, mais suffisant pour que je passe sans problèmes. Mais plusieurs fois, ne s’étant pas assez avancée vers la banque je me frottais contre ses fesses, sans qu’elle réagisse. J’étais gêné, et chaque fois je filais discrètement.
    
    En milieu d’après-midi Evelyne me demanda d’aller dans la réserve chercher un lot de sweets et me dit :
    
    « Je descends pour les choisir »
    
    Je l’attendais au pied de l’escalier qui amenait à la réserve, inquiet qu’elle m’accuse de l’avoir frottée volontairement.
    
    Elle regarda ce que je lui présentais choisit 3 sweets sur le lot et s’approchant de moi, elle posa ses lèvres sur les miennes et me dit « Merci »
    
    Je me demandais ce qui venait de se passer.
    
    Et je repris mon travail et encore plusieurs fois je dus passer derrière Evelyne, j’en profitais pour me frotter à son joli cul, il me semblait parfois que volontairement elle bloquait le passage, mais entre la réalité et le rêve, à vingt ans, je me méfiais de moi. Vers la fin de l’après-midi, j’étais dans la réserve à ranger les cartons vides, quand Evelyne descendit, s’approcha de moi et me donnant un papier me dit :
    
    « Je ...
    ... t’attends demain à 2,30 heures pour prendre un café, mon mari ne sera pas là » et elle partit.
    
    J’étais abasourdi, je n’aurais pas eu le papier je ne me serais pas cru, mais sur le papier son adresse.
    
    Le lendemain, en mobylette je me dirigeais vers l’adresse donnée, boulevard des USA. Une grande rue avec des barres d’immeubles à droite et à gauche de 3 ou 4 étages. Rue sympa. J’avais malgré tout une certaine appréhension me demandant si ce n’était pas une mauvaise blague. Je suis donc arrivé avant 2,00 heures pour me repérer et aussi pour vérifier si véritablement le mari avait quitté les lieux.
    
    A 2,30 heures je sonnais et Evelyne venait m’ouvrir, un joli sourire aux lèvres. La porte refermée elle venait poser ses lèvres sur les miennes et m’entraînait dans la salle de séjour ou un café été préparé. On s’installa et démarra une conversation de salon, je ne savais comment me comporter.
    
    IL faut dire qu’à l’époque avec les flirts c’était la main dans la main, la main dans le machin, le machin dans la main mais jamais le machin dans le machin. J’avais un peu d’expérience avec mes flirts, mais avec des femmes, c’était voisin de zéro. Je pense qu’Evelyne s’en était rendu compte car au bout d’un certain temps elle se leva et vint s’asseoir sur mes genoux. Quelques baisers et m’enhardissant, je commençais à lui caresser les jambes qui étaient à portée de main en espérant progresser, mais, dans ma tête sans précipitations, comme on le faisait avec nos flirts qui ne fallait pas ...