1. Une divine surprise - 1


    Datte: 18/06/2020, Catégories: Première fois Auteur: Puceron, Source: Hds

    Jeudi 7 juillet 1960 – Distribution de publicités
    
    Je suis Jean, j’ai 19 ans, physiquement rien de spécial 1,75 m, brun, sportif quand j’ai le temps et après une année de prépa à La Martin d’en haut à Lyon, j’avais réussi à intégrer une école d’Ingénieurs et j’étais en attente de l’arrivée de mes parents le 15 juillet avec qui je devais passer une quinzaine de jours de jours en Autriche.
    
    Du campus qui se trouvait sur la colline de Fourvière, pas loin du funiculaire, j’étais descendu au resto U en bord de Saône qui était le seul ouvert à cette époque de l’année. A l’entrée, je remarquais un homme d’une cinquantaine d’année qui semblait hésiter à rentrée. Je lui demandais si je pouvais l’aider.
    
    « Oui, je voudrais mettre une affiche, j’aurais besoin d’un étudiant pour distribuer des publicités dans les boîtes aux lettres »
    
    « C’est pour quand cette distribution ? »
    
    « Demain à Vienne, je vais fermer le magasin que j’ai là-bas et je fais des soldes importantes, il faudrait que j’en informe les gens »
    
    « Je n’ai rien à faire, si vous voulez je peux faire ce boulot »
    
    « Si les clients étaient nombreux, il serait possible que nous ayons besoin de vous au magasin »
    
    « Mais, je n’ai aucune compétence pour vendre »
    
    « Ne vous inquiétez pas ce serait pour aider à la manutention des cartons »
    
    C’est ainsi que le lendemain je me trouvais le vendredi, à Vienne en train de distribuer des publicités dans les boites aux lettres et ce toute la journée.
    
    Le samedi ...
    ... retour à Vienne ou je faisais connaissance de la vendeuse en charge et de la femme du patron qui officiait aussi comme vendeuse. La clientèle fut telle que même le patron s’y mit, quant à moi, j’allais chercher les cartons dans la réserve au sous-sol, quand les articles étaient mis en rayons, je redescendais les cartons, …
    
    A la pose de midi, le patron après en avoir discuté avec sa femme décida de faire venir une vendeuse supplémentaire, Mme Evelyne B. vendeuse employée à son magasin de Lyon.
    
    Vers 14,00 heures arrivée la dite vendeuse accompagnée par son mari.
    
    Evelyne était une jeune femme, environ la trentaine, brune coiffée d’un chignon banane, à vue de nez 1,60 m. Après avoir enlevé sa veste, elle était habillée, comme c’était la mode, d’un chemisier blanc ajusté, bien rempli, légèrement décolleté, mais épousant bien ses formes donc mettant en valeur ses seins, une jupe droite gris clair, elle aussi ajustée et à l’aise sur des escarpins. Une figure avenante, un sourire aimable et une particularité qui ajoutait à son charme des yeux légèrement bridés, qui, je l’appris plus tard, venaient de son arrière grand’mère japonaise. En somme une jolie femme.
    
    A peine arrivée, connaissant le magasin et son sous-sol elle se mit rapidement au travail. Quant à moi, je montais et descendais des cartons ou des articles demandés, enfin l’après-midi se passa sans problème.
    
    Le dimanche dernier jour du magasin fut le même que le samedi, avec beaucoup de clientes. En cours de matinée, ...
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