De fil en aiguille - Histoires de Sexe

De fil en aiguille

... vers le téléphone. L’effet est immédiat. Elle se penche au-dessus de ma verge. Ses cheveux tombent sur mon ventre, sur mes couilles. Je glisse mon sexe entre ses lèvres, la frotte contre ses dents. Comme elle ne les desserre pas, je la menace :

— Ouvre le bec, sinon…

Elle cède, mon gland disparaît dans sa bouche. Vanessa lâche le téléphone et écarte les cuisses. J’empoigne Flora par la nuque. Je pèse dessus pour qu’elle m’avale mieux la queue. Je sens sa bouche chaude et humide m’envelopper. Mon gland bute contre son palais. Comme elle ne fait rien, je lui tire les cheveux :

— Allez, remue la langue ! Fais aller et venir tes lèvres !

Elle commence à pomper sans conviction. Sa langue s’enroule autour de mon nœud, ses lèvres m’aspirent. Vanessa passe derrière elle et lui met la main sur la chatte ce qui la fait sursauter. Dans les yeux de ma copine et à son sourire, je comprends que l’employée dégouline sur sa main. Je la tiens à deux mains pour la faire monter et descendre le long de ma pine qui se couvre vite de salive. Elle se met à me sucer de mieux en mieux, alors je la lâche et elle continue toute seule, probablement surexcitée par le doigt que Vanessa remue dans sa chatte.

Je joins les mains derrière la tête… Je suis en train de me faire tailler une pipe comme un pacha, avec ma copine en face de moi, une main sur la chatte de Flora et l’autre occupée sur son propre minou. Maintenant Flora s’active sans retenue ; elle me saisit la base de la bite pour ...

... mieux me pomper. Je regarde sa bouche courir le long de ma pine. Par-dessous, je vois ses seins s’agiter. L’un d’eux s’est échappé du soutien-gorge trop petit. Flora se déchaîne, à quatre pattes entre mes cuisses, remuant sa croupe pour que Vanessa s’enfonce plus. Lorsqu’elle se met à me branler en même temps qu’elle me pompe, je l’oblige à s’arrêter pour que je ne jute pas.

— Reste comme ça, je vais te baiser en levrette !

Elle n’exprime aucune réticence et, tandis que Vanessa m’enfile une capote, elle se contente de creuser les reins pour mieux s’offrir. Sa soumission excite manifestement ma copine qui lui dit :

— Il va te mettre un bon coup de bite, ma salope ! Pendant ce temps, tu vas me bouffer la touffe, ça t’apprendra à fouiller dans mes affaires, espèce de petite voleuse.

D’un geste brusque, j’écarte le string. Sa fente est luisante. J’y plonge trois doigts, je les fais aller et venir. Sa chatte est chaude, baveuse. Je ressors, empoigne ma bite et je loge mon gland dans sa chatte détrempée. Flora grogne et creuse les reins davantage. Je m’enfonce dans son minou jusqu’aux couilles. Je m’arrête ensuite pour faire tomber la pression de mes couilles. Mon ventre est plaqué contre les fesses blanches et chaudes. Elle frémit, ondule doucement, elle est impatiente ; c’est le moment que Vanessa choisit pour lui appuyer la bouche contre sa chatte ouverte.

Je n’en reviens pas ! Cette fille est à quatre pattes devant moi, comme une bonne grosse chienne. Elle attend que ...