De fil en aiguille - Histoires de Sexe

De fil en aiguille

... remontent vers le haut ; ils semblent énormes, elle doit au moins atteindre le 95 D. Les pointes s’échappent des bonnets et Vanessa me fait observer qu’elles bandent. Ça l’émoustille de s’exhiber ainsi ! Nous aussi, cela nous excite. J’ai envie de baiser. Vanessa me caresse le torse et m’enlève mon polo. Je baisse mon pantalon, libère mon sexe. Il se dresse, tout décalotté, sous le regard impressionné de Flora.

— Tu as vu dans quel état tu me mets, salope ? Tu n’es qu’une allumeuse. Tourne-toi. Montre-nous ton cul.

Elle fait volte-face, trop heureuse de ne plus avoir à croiser nos regards enflammés. Elle a la taille fine, les fesses fermes totalement exposées par le string minuscule. Une marque de bronzage blanche laisse deviner la forme échancrée de ses maillots.

— Tu as un beau cul. Penche-toi en avant que je voie mieux, lui dis-je.
— Encore… pose les mains sur le sol… rajoute Vanessa.

Elle obéit docilement. J’ai l’impression de jouer à la poupée. Je vois son cul en gros plan ; la ficelle du string lui entre dans la raie.

— Écarte les fesses, on ne voit plus ton string !
— Oh, non !

Ses longs cheveux bruns touchent le sol. Entre ses cuisses, je vois sa poitrine par en dessous. Elle est prête à s’échapper du soutien-gorge.

— Vanessa…

Elle frémit puis, lentement, elle pose les mains sur ses fesses. Elle les écarte timidement.

— Encore ! Ouvre-toi bien !

Elle exhibe son entrefesse barré par la ficelle du string. Cette dernière passe juste sur ...

... l’anus.

— Écarte la ficelle… il y a un détail que je veux voir.
— Oh, non, c’est sale.

Elle hésite, puis elle obéit. Elle a un beau cul avec un anus plissé, serré, très bombé. Comme elle a repoussé le slip de côté, on voit les lèvres boursouflées de sa chatte. On devine qu’elle mouille. Est-ce que, comme Émilie, cela l’excite qu’on l’oblige à faire des saletés ? Je suis excité et Vanessa aussi, ses seins sont tendus et, lorsqu’elle enlève sa jupe, sa chatte est luisante de mouille. J’ai envie de tout faire pour que nous puissions sauter Flora. Pendant qu’elle reste ainsi exposée, je quitte mon pantalon et mon caleçon.

— Tourne-toi, on en a marre de parler à ton cul !

Elle nous fait face, lentement. Quand elle voit ma bite, elle s’empourpre et baisse les yeux. Sa respiration s’accélère, ses seins, comprimés par le soutien-gorge trop petit, montent et descendent. L’empiècement de son string ayant glissé sur le côté, une de ses grosses lèvres dépasse du slip. Pétrifiée, elle ne songe pas à se rajuster. Vanessa m’écarte les jambes et lui montre le lit, entre mes cuisses. Elle ne lui parle pas, ne la menace même pas. Elle s’agenouille devant moi. J’éprouve une sensation bizarre. J’ai l’impression que Flora nous appartient, que nous pouvons lui faire n’importe quoi. Vanessa lui tend mon sexe.

— Suce-le !

Elle écarquille les yeux et agite la tête de gauche à droite. Une mèche de cheveux glisse sur son épaule et se balance entre ses seins. Ma copine fait un geste ...