De fil en aiguille - Histoires de Sexe

De fil en aiguille

De fil en aiguille

Le lendemain, nous quittons le Poitou pour continuer notre «périple» le long de la côte, vers la Bretagne. Nous remontons en bord de mer, traversant Les Sables-d’Olonne, pour arriver en fin d’après-midi à Noirmoutier où nous allons passer la nuit dans un hôtel de la côte. Tard le soir, nous marchons sur le port. Je tiens Vanessa par le bras. Il y a peu ou pas d’autres promeneurs et je passe de temps en temps la main sous sa jupe pour lui toucher le sexe. Je lui tripote la chatte, enfonce mes doigts dans sa fente puis les retire, la laissant chaque fois de plus en plus frustrée. Nous empruntons la jetée en direction d’un des phares d’entrée du port. Lorsque nous arrivons au pied de l’édifice, je retrousse sa jupe. L’endroit est désert, éclairé par la lune, face à la mer.

— J’ai envie que tu me fasses jouir… me dit Vanessa.

Elle écarte les pans de son «imperméable» et relève sa jupe jusqu’à la taille. Dans la pénombre, son pubis nu et trempé brille. Je la caresse, puis nous reprenons notre marche côté mer de la digue, en contrebas. Je lui demande de garder son imper ouvert. Elle doit sentir la fraîcheur de l’air entre ses cuisses, sur son sexe nu. Je touche ses fesses par-derrière. Ses yeux brillent dans la nuit. Elle est aussi émoustillée que moi. Elle me propose de rentrer nous masturber à l’hôtel, mais je lui dis que je trouve la situation plus excitante. Nous marchons encore un moment entre la digue et la légère bande de rochers qui nous sépare ...

... de l’eau. Devant nous, la mer scintille de mille éclats de lune. Je relève l’arrière de son imper, exhibant ses fesses. Son excitation est telle qu’elle n’éprouve plus aucune pudeur. Elle ralentit même l’allure pour me laisser le temps de détailler ses fesses en mouvement. Arrivés au bout du quai, nous nous arrêtons au bord de la mer. J’ouvre son chemisier, exhibant ses seins nus tandis qu’elle sort ma bite. Sous l’effet de la brise marine, ses aréoles se sont couvertes de chair de poule. Sans rien dire, je fais rouler ses mamelons entre mes doigts ; ses pointes durcissent très vite. Je lui caresse les seins, puis la guide afin qu’elle pose le pied sur un rocher proche. Elle écarte les jambes. Je la fixe en silence. Je passe mes doigts sur son pubis glabre. L’éclairage est faible, mais suffisant pour apercevoir clairement sa fente. J’écarte ses nymphes, et l’air de la mer qui lèche sa chatte la fait frissonner. J’enfonce lentement mon doigt dans son sexe. Je le ressors luisant de mouille. Je la masturbe en respirant bruyamment. Je la lâche avant qu’elle ne parte et me recule. Sa chatte est béante, je m’agenouille, presse son clitoris, fait coulisser un doigt dans son sexe. Puis j’avance mon visage entre ses cuisses. Je la lèche pendant qu’elle se pelote les seins.

Soudain je me relève, des pas viennent derrière nous. Nous apercevons la silhouette d’un homme seul. Il est suffisamment près et la lumière assez diffuse pour qu’il sache que Vanessa est à moitié nue. Je remarque ...