De fil en aiguille - Histoires de Sexe

De fil en aiguille

... que ses yeux se fixent sur le bas-ventre de ma copine. Il doit avoir dix-huit ans tout juste. Il est brun, avec des cheveux frisés, tentant de se donner une contenance en tirant sur une cigarette. Je la masturbe encore devant l’inconnu, l’invitant à s’approcher. Timide, il s’approche et regarde. Je prends sa main et, le forçant un peu, la plaque sur la chatte trempée. En quelques instants, il oublie ses réticences et profite de l’occasion qui lui est offerte. J’assois Vanessa sur un gros rocher à proximité, la jupe entortillée autour de la taille, le sexe à l’air. Elle tend la main et sort la bite du garçon. Elle lui enfile un préservatif sur sa queue raide mais fine. Assis à côté d’elle, je la serre contre moi, pétrissant ses seins entre mes mains. Elle guide la bite du jeune homme qui entre dans son sexe d’un seul coup jusqu’à la garde. Elle lui imprime le rythme et rapidement il se met à bouger d’avant en arrière. Elle l’entoure de ses jambes. Elle veut manifestement se faire baiser fort et longtemps. Malheureusement il jouit trop vite et disparaît sans demander son reste.

Vanessa reste allongée, insatisfaite. Comprenant l’état dans lequel elle se trouve, je m’assois entre ses genoux et la masturbe un long moment, jusqu’à ce qu’elle jouisse enfin. Sur le chemin du retour, son bras autour de ma taille et le mien sur ses épaules, nous traversons le bourg en amoureux «normaux».

Nous prenons la direction du nord de la Bretagne où nous avons réservé une chambre pour ...

... plusieurs jours à Tréguier. L’hôtel s’appelle l’hôtel des Deux Coqs, un établissement de deuxième catégorie pas trop sinistre et bien placé. L’après-midi de notre arrivée, nous faisons une balade dans la ville etVanessa décide de s’acheter des dessous en grand nombre, assez sexy, etc… Nous repassons à l’hôtel pour déposer les courses et sortons dîner en ville.

Quand nous regagnons l’hôtel, nous surprenons une des employées dans notre chambre. Nous sachant absents, elle en profitait pour essayer quelques sous-vêtements de Vanessa. Elle porte à ce moment une guêpière rouge qui va bien avec son teint mat, un string noir et une paire de bas. Lorsqu’elle nous voit, elle est prise de panique. Confuse, elle tente de se cacher derrière sa robe. Nous sommes en position de supériorité, et c’est sans compter sur notre perversion ; Vanessa s’exclame :

— Faut pas vous gêner ! Ça vous arrive souvent de fouiller les chambres des clients ?
— Non, j’ai juste remarqué vos achats et je voulais en essayer quelques-uns.

Vanessa décide de lui faire peur afin d’abuser de la situation :

— Je crois que vous n’êtes qu’une voleuse.
— Ce n’est pas vrai ! Je suis une honnête fille !

Elle est affolée. Dans sa confusion, elle agite la robe devant elle, découvrant ses cuisses ou ses épaules. Elle est plutôt bien foutue, cette garce. J’ai soudain envie de la baiser et je me réjouis de l’initiative de Vanessa. Je m’assois près du téléphone mural. Je tends la main :

— Ce n’est pas normal que ...