Entre remords et faux regrets ...
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
voisins,
copains,
fsoumise,
vengeance,
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
confession,
extraconj,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... n’ai pas arrêté de penser à ce que tu m’as dit ce matin, que tu te masturberais en me regardant baiser un autre homme.
— Je l’ai fait.
— Moi j’en rêvais, je t’imaginais en train de te branler très fort et c’était fou l’effet que ça m’a fait quand ça s’est fait. Maintenant, si tu veux qu’on fasse l’amour à trois avec un autre homme, je le ferai quand tu voudras.
— Tu es sérieuse ?
— Bien sûr !
— Tu aimerais ?
— Maintenant, je sais que je peux prendre du plaisir avec n’importe qui, et je veux que tu profites de mes penchants les plus pervers. Je suis une putain que tu peux utiliser comme ça te chante, et si tu veux partager ta putain avec un autre, je suis d’accord.
— Avec qui ?
— Avec qui tu veux, un de tes amis, un inconnu, choisis qui tu veux.
— Tous ceux que je veux ?
— Tant de types que tu voudras. Seulement ne me reproche pas d’être une putain, je risque d’aimer trop ça.
— Mais tu viens de prouver à quel point tu aimes ça. Seulement tu dois faire attention aux risques. Tu ne dois plus jamais oublier les préservatifs.
— J’ai tellement peur de tomber enceinte de Philippe que j’ai compris la leçon. Toi aussi tu en mettras ?
— Bien sûr ! Mais tu crois que tu aimerais me voir baiser d’autres femmes ?
— Je crois que ça m’excitera beaucoup. Mais méfie-toi, je risque d’être encore plus cochonne !
— Franchement, je ne vois pas ce que tu pourrais faire de plus avec un homme.
— Avec un seul, non, mais avec plusieurs ?
— Je t’aime, tu sais. Je découvre que tu es une ...
... salope, mais je t’aime.
— Je suis une salope, c’est vrai, mais je t’appartiens et je t’aime.
— Tu m’aimes, mais tu ne m’appartiens pas, je n’ai plus l’exclusivité de tes charmes ni de tes talents au lit.
— Quand je pense que ce matin même, je te reprochais d’avoir fourré ta queue dans le trou d’une autre ! Et ce soir, c’est ma chatte qui est poisseuse du sperme de deux amants, tu m’as prise après eux.
— Et j’ai beaucoup aimé le faire.
— Et si je recommençais avec le voisin ?
— Tu en as envie ?
— Je crois que oui, j’ai très envie de baiser avec lui.
— On verra, il faut qu’on en parle avant.
— On verra si tu veux, mais maintenant tu es averti, tu sais que ça peut arriver.
Nous sommes restés allongés dans les bras l’un de l’autre, en songeant pour ma part aux événements qui s’étaient produits et à ceux qui nous attendaient. J’avais encore du mal à croire en ce que j’avais vu et entendu, mais qui était donc cette inconnue endormie dans mes bras, la femme fidèle et pudique que j’avais ce matin encore avait vécu, une nouvelle avait brisé la chrysalide pour prendre son envol, j’étais abasourdi par cette métamorphose.
De plus, j’étais estomaqué par sa faculté à rejeter la faute sur les autres, elle se voyait comme une oie blanche dont on avait abusé, une innocente désinhibée par l’alcool, une femme poussée à la vengeance par son mari, pervertie par un ami, abusée par tous. Elle oubliait son invraisemblable perversité, sa soif de sexe, bref, elle reniait toute part de ...