Piège au Hammam
Datte: 16/06/2020,
Catégories:
ff,
copains,
sauna,
volupté,
massage,
init,
journal,
Humour
Auteur: Karine2x, Source: Revebebe
Novembre. Visite de mon amie Maud.
J’ai fait la connaissance de Maud l’année dernière, en entrant dans la banque où j’ai été embauchée comme attachée de clientèle pour les PME et commerçants. J’ai travaillé avec elle pour monter des dossiers et nous avons immédiatement sympathisé, au point de passer nos vacances ensemble (voir Chapitre 1, texte n°11114). Elle a deux ou trois ans de plus que moi et, si vous vous souvenez, elle était, cet été, enceinte jusqu’aux dents. Son bébé est arrivé en octobre : une magnifique fille, Agathe.
Maud sonne, entre, m’embrasse, gaie et souriante à son habitude. Je lui tends la peluche achetée en cadeau de naissance.
— Karine, merci beaucoup. Agathe va être ravie. Je suis désolée, j’ai dû la laisser chez ma mère car j’ai rendez-vous tout à l’heure au hammam, pour un massage. J’ai des kilos à perdre, m’explique-t-elle en riant.
Après une conversation banale entre filles, grossesse, régime, bébé, nippes, Maud me demande :
— Tu me montres les photos de cet été ?
J’allume mon portable, et nous parcourons le répertoire où sont stockées les photos prises à la villa ou pendant nos ballades.
— Et celles-là ?
Elle me désigne un sous-répertoire. Un peu gênée, je lui réponds :
— Ce sont des photos de moi toute nue. Pierre, depuis qu’il a acheté un appareil numérique, n’arrête pas de me photographier à poil. Avant, il hésitait à les donner au photographe mais maintenant, il s’en donne à cœur joie.
— Montre-les-moi.
Comme je ...
... semble hésiter, elle ajoute :
— Pas de chichis, Karine, on est entre femmes.
Bon. Elle a raison, je suis encore un peu coincée. Je clique. Nous visualisons les photos une à une. Quelques-unes sont vraiment osées. Rien de pornographique, mais très érotique.
— Et celle-là ?
Je suis rouge de honte. Maud me désigne une photo double de mon sexe en gros plan dont j’avais oublié l’existence. Le contraste est saisissant entre ma chatte à l’état normal, bien fermée, et la photo prise à la sortie de l’eau, à l’issue de l’un de mes orgasmes aquatiques : gonflée, violacée, petites lèvres dilatées et pendantes, vagin entrouvert, laissant couler un liquide non identifiable.
Encore plus gênée, je lui explique.
— C’est un montage de Pierre. « Avant » et « Après ».
Pressée de questions, me voilà obligée de lui raconter l’épisode de la piscine.
— Tu t’es vraiment éclatée. Au propre comme au figuré, constate-t-elle en riant.
— Oui, et depuis, Maud, j’aime faire l’amour, alors qu’avant j’étais un vrai glaçon. J’inventais un tas de truc pour être tranquille, migraines à répétition, fatigue subite, raganagnas interminables, tu vois le genre.
— Ton mari ne t’a jamais trompée ?
— Non, j’en suis sûre, pourtant je l’aurais mérité.
— Alors, il devait se masturber tous les jours.
— Hein ? Tu crois ?
— Tous les hommes se tirent sur l’élastique, ma chère Karine. S’il ne pouvait dégorger du poireau qu’une fois par semaine, tu te rends compte !
Je dois faire une drôle de tête ...