La chandelle
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
Humour
Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe
... classique.Louis, entre-temps, avait dû se perfectionner, du moins l’espérait-elle – à vérifier ! Mais son ami Louis représentait aussi un avenir éblouissant pour elle, la petite orpheline sans fortune. Le marier, le Louis ? C’est ça ce qu’il veut, son vieux ? Pourquoi pas ! Louis, elle se sentait prête à lui vouer beaucoup d’affection. Sans nécessairement lui promettre… euh… une fidélité exemplaire. Faut quand même pas charrier.— Alors Justine, accepterais-tu d’épouser mon fils Louis ?— Eh bien, beau-papa… Vous permettez que je vous appelle beau-papa ?À ces seuls mots, le visage du comte s’illumina, ses yeux s’embrouillèrent d’émotion. Une oreille plaquée sur sa poitrine de cancéreux aurait pu entendre un immense cri de soulagement. L’affaire était dans le sac…— Vous croyez vraiment, beau-papa, que j’ai les qualités dont vous me parez ? Vous en êtes certain ? Vous voulez vraiment de moi, pour belle-fille ? Maintenant c’est vrai que le domaine ne me fait pas peur, et si vous m’offrez cet avenir inespéré avec Louis en cerise sur le gâteau, alors oui, beau-papa, c’est oui.Le comte se leva, la prit dans ses bras et l’embrassa sur le front.— Justine, bienvenue dans la famille.— Merci. Il y aura donc une nouvelle comtesse.Les yeux du vieux brillèrent à nouveau. La mère de Louis avait rejoint le caveau familial trois ans auparavant, suite à un accident cérébral et il ne parvenait pas à s’en remettre.— Oui, il y aura une nouvelle comtesse. Puisse Louis connaître autant de bonheur ...
... avec la sienne que j’en ai connu avec la mienne. Il faut que j’aille lui parler.— Ah non, beau-papa ! Non ! Ça, c’est mon rôle. Et pas plus tard que tout de suite.********************En gros, je viens de vous relater tout ce que Stéphane m’avait appris à l’occasion d’un apéro du dimanche matin, organisé pour préparer ma visite. J’oubliais : Louis avait, paraît-il, explosé de joie et baisé la Justine sur le champ et le sol de la cave à vins, façon marteau-piqueur. Ce qui eut le mérite de la rassurer sur les progrès de son étalon et de la faire jouir bruyamment. Monsieur le comte, entendant de ses fenêtres cette symphonie de cris en eut les oreilles qui pleuraient de joie. La machine à noces pouvait se mettre en branle. Il paraît aussi que Louis, après le feu d’artifice, lui aurait dit : « Justine, ma tendre, il y a une chose que tu dois savoir… ». Mais quoi ? Stéphane l’ignorait. Justine, pourtant prolixe, avait refusé de lui en dire plus.********************Saint-Vit-sur-la-Jeanne. Enfin !Ah oui, le nain de jardin… Il est où, ce con ? Hein ? C’est pas vrai !
Je faillis perdre le contrôle de ma deudeuche, cloué par la surprise et le fou rire. Ils ont osé ! Visible de loin, un gigantesque nain de jardin de plus de quatre mètres de haut. Et nu ! Si, si ! À poil, avec des attributs gigantesques qui dépassaient de la haie de spiréas. À Tchernobyl, les mains nues… à Saint-Vit, le nain nu. Stéphane avait raison, impossible de louper la maison. Cela me mit d’excellente humeur. Dans ...