La chandelle
Datte: 09/04/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
délire,
Humour
Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe
... encore depuis que je t’ai vu, ce matin. Ne me dis surtout pas que toi tu ne me désires pas. Je l’ai lu dans tes yeux au premier regard, et toute la journée : tu me veux ! Alors tais-toi et baise-moi ! C’est cadeau du ciel que ce soit toi, de toute façon, mon Louis n’y attachera aucune importance.
Pour faire bonne figure, elle défit les cordons de sa robe de mariée qui glissa sur le sol. La voir apparaître, là, devant moi, la poitrine nue, les poumons orgueilleux et fiers, tout juste vêtue de ses bas et de son attendrissante culotte blanche, mon cœur s’emballa. Et puis…
C’en était trop ! Je la pris dans mes bras pour l’emmener jusqu’au lit. Toutes mes bonnes résolutions venaient de s’évanouir. Clémenceau avait dit que le meilleur en amour, c’est quand on monte l’escalier. Il avait omis d’ajouter « et de retirer sa culotte à la belle ». Ce que je fis, immédiatement ébloui par cette vision de rêve : oh ! Quelle vue sur « Jérusalem » !…
Je devins fou. Je l’embrassai, l’embrassai et l’embrassai encore, cajolai ses seins, en léchai amoureusement les pointes, tout en laissant gambader ma dextre à la recherche de son sexe. La Justine n’attendait que cela, elle ouvrit les jambes à la rencontre de ma main et un doigt implacable mais délicat s’en alla aussitôt explorer cet abîme de douceur.
Du bout de l’index, je me mis alors à cajoler son petit organe, celui-ci me répondit aussitôt présent en se raidissant comme un bâtonnet de parmesan – ( ? ? ?) pardon : de zan, tandis ...
... que Justine lâchait déjà quelques gémissements. Faire durer le plaisir, ne pas se précipiter, jouer et jouer encore avec ce clitoris qui crie famine, que Justine m’implore encore et encore, jusqu’à ce que, à bout, elle explose enfin en une bruyante jouissance. Tel était mon but.
But atteint. Un hurlement de bonheur à réveiller un mort, mais certainement pas Louis. Il continuait à dormir du sommeil du juste. Alors, puisqu’il en était ainsi, je repris l’affrontement et le taureau par les cornes – pas celles de Louis – et me lançai à fond dans les délices du péché. Ce fut ma langue qui partit à la recherche du bouton magique. Là encore, l’affaire fut vite réglée, mon principal souci était plutôt de garder le contact, tant le bassin de la belle semblait mû par une vie autonome, mais elle couina de nouveau, peut-être encore plus bruyamment que la première fois, dans le marigot de l’indifférence maritale.
— Prends-moi, prends-moi, je t’en supplie !
Je ne pus m’empêcher de sourire, mais je savais que, dans l’état d’excitation où j’étais, je ne tiendrais pas très longtemps si je me risquais à jouer au cosaque. Même en pensant à mes impôts, ma concierge, la table de sept ou la Castafiore de pâturage – quoique dans ce dernier cas, je risquais sûrement la dé-bandade – même en me scotchant l’esprit avec des conneries, au troisième aller et retour, ce serait l’explosion garantie.
— Pas encore, ma toute belle. Par contre, tu vas faire quelque chose pour moi.
— Tout ce que tu ...