La fin
Datte: 10/06/2020,
Catégories:
ff,
ffh,
fbi,
copains,
grosseins,
hotel,
cérébral,
entreseins,
Oral
69,
fist,
fsodo,
fouetfesse,
couplea3,
Auteur: Bouzi, Source: Revebebe
... me donner du courage.
On commande une nouvelle tournée. Puis encore une, histoire d’être sûres.
— En fait, si je t’en veux et si j’ai pété un câble dans le bar de la gare c’est parce que toi tu vis mon fantasme et tu le gâches.
Encore un long silence qui veut dire :« Vas-y continue, je suis avec toi, je ne te juge pas, tu peux tout me dire ».
— Ton mari te fait l’amour mais il te baise aussi. Un jour, vous faites l’amour doucement et le lendemain il t’emmène dans des scénarios où tu es son jouet sexuel. Je veux être un jouet sexuel. Regarde-moi, je suis équipée pour être un jouet sexuel.
Je finis ma phrase en montrant mes seins.
— Avec tout ce que tu m’as raconté sur vous, sur votre vie sexuelle, je me masturbe en m’imaginant être à ta place. Je me suis acheté le même gode que le tien depuis que tu m’as dit qu’il ressemblait presque exactement au sexe de François. Je revis vos scénarios quand Franck n’est pas là. Le gode remplace le sexe de François et il passe de ma bouche à ma chatte. Je jouis comme une folle seule dans mon coin.
— Tu en parles avec Franck de tes envies et de tes désirs ?
— Une fois, je lui ai demandé de m’injurier, de me dire des mots cochons. Tu sais ce qu’il m’a répondu ? Que je n’avais pas un comportement normal que ce genre chose c’était pour les putes.
Pendant que je raconte mon histoire, Marie a commandé une nouvelle tournée. Nos verres terminés, Marie m’emmène sur la piste de danse.
Nous dansons entre filles, bien ...
... serrées, histoire qu’aucun mec ne vienne s’incruster entre nous ! Et après tous les verres que nous avons bus et la chaleur ambiante aidant, nous nous retrouvons à danser très, très serrées. On se frotte littéralement la poitrine l’une contre l’autre, ce qui fait ressortir impudiquement nos tétons. Mais ça ne nous arrête pas. Je me sens bien, on continue notre danse, ses mains se posent sur mes fesses. Marie me caresse à travers ma robe. Nous sommes seules au monde quand la musique s’arrête.
C’est l’heure de partir, le bar ferme. On sort sans un mot, on monte dans un taxi qui nous ramène à son hôtel.
On arrive dans sa chambre un peu pompette mais en forme. Marie me propose de reboire un coup, elle met de la musique et on se remet à danser, mais plus calme cette fois-ci. Ça devient très vite moins innocent… À un moment, je m’écarte d’elle et prétexte une envie d’aller aux toilettes pour reprendre mes esprits. La situation nous échappe totalement.
Quand je ressors, elle est en train de danser toute seule avec son verre à la main, les yeux fermés. Je la trouve belle et je la rejoins, lui enlève son verre des mains, le repose, pour reprendre notre danse. Rapidement collées l’une à l’autre encore, elle me prend le visage à pleines mains et m’embrasse à pleines lèvres pour le baiser le plus tendre que j’ai eu depuis longtemps… Je me sens chavirer.
— J’ai envie de toi, Fabienne, me dit-elle dans un chuchotement.
Ce baiser et ce murmure suffisent à me liquéfier, je suis ...