-
Bourge et salope
Datte: 10/06/2020, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
... rien se refuser. Je devinais qu'il ne me serait rien épargné et que mon cul notamment allait charger. Ces mâles n'aiment rien tant que la sodomie. Je savais que ce devait être le terme de nos ébats. Il lâcha la purée dans mon anus jetant un long cri de victoire. Fourbus, nous n'en échangeâmes pas moins en blaguant tel des amants. Ce con me paraissait du coup sympathique. Il pensait de même. Il me concéda que sa misogynie l’avait d'abord mal disposé à mon égard. Il me trouvait une chic fille. Je pouvais revenir volontiers par ici. Il tint à me faire quelque cadeau. Nous poussâmes la porte d’une parfumerie. Il fit chauffer la carte bleue. Je trouvais normal qu'il me couvrit de présents. N'avais-je pas bien œuvré ? Le soir même mon patron fut informé de ce triomphe. Il ne voulut pas savoir comment j'avais fait. Le lendemain j’expédiais en une heure le dernier client. J'avais établi un circuit de cent kilomètres où nombre d'églises et autres devaient être visités. Au cours de la nuit j'avais dévoré mon Stendhal. Cette lecture m'avait replongé dans mes jeunes ans. J'étais alors dans les illusions. Je devais admettre que le monde des hommes étaient laid et qu'il fallait s'en accommoder. Il faut tirer son épingle du jeu et ne pas choir comme l’héroïque Julien Sorel. J'étais résolue à négocier avec mon mari et à n’aller pas jusqu'au divorce. J'allumais en passant Didier lequel nota ma bonne humeur. Demain en fin d'après-midi je devais reprendre la route. Mon séjour avait ...
... été fructueux. Je n'en espérais pas tant. Mon patron me laissa entendre que j'aurais une récompense. Je songeais notamment à une promotion que j'avais espéré jusqu'alors vainement. Il n'est pas sûre que notre champion Patrick eût réussi à ma place. Au matin je croisais l'hôtelière. Je lui demandais en quels magasins j'aurais chance de trouver des spécialités culinaires de la région. Elle fit mine de ne pas entendre et me snoba. Cela acheva de m'énerver. J'en fis part à son bonhomme. Celui-ci réparant l’insolence de sa dame me signala deux, trois bonnes adresses où effectuer mes emplettes. M’assurant que l'on ne nous écoutait, je lui dis que j'avais vraisemblablement détérioré la manette du store. J'aspirais à ce qu'il vint en personne la réparer. J'ajoutais d'un air entendu : « Attendez que je revienne pour faire cela. » Je ne pouvais être plus explicite. Traversant la rue je roulais du cul plus lascivement assurée qu'il regardait. Je dégotais des pâtés et vins fins qu’affectionnait mon mari. Je voulais lui faire plaisir aussi. Didier ne vint de suite. Je compris qu'il attendait que le jeune étudiant habilité à assurer les après-midis arrivât. Il fit mine de sortir faire une course à l'autre bout de la ville. Avec astuce il revint par une autre entrée. Nul ne devait le voir. Madame en outre était partie à son coiffeur. Il me donna tout ces détails en s'esclaffant. Il adorait faire cela. Il me concéda avoir fait souvent des cochonneries avec les clientes. Sa femme le ...