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Bourge et salope
Datte: 10/06/2020, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
Que peut-on faire à Bourges ? Pas grand-chose. Je n'avais pas pris cela en considération quand j'eus dis oui au patron. Peu des autres commerciaux s’étaient bousculés pour couvrir ce territoire. Le patron parut s'en inquiéter me disant : « Cela va Denise ? « Il était notoire que mon couple allait à vau l’eau à l'époque. En fait j’avais envie de prendre le large pour mieux réfléchir. Je pris ce séjour d'une semaine comme l'opportunité d'une retraite. Par ailleurs la corvée était grassement rémunérée. Bref je répondis au boss : »Ça me convient. J’ai besoin de fric. » Ma réponse offrait peu de crédibilité. Je n'avais jamais manqué de rien. Mon mari et moi sortions de grandes familles bourgeoises. Il était inconcevable qu'un jour nous nous trouvions un jour sur la paille. Au contraire je laissais accroire que la difficulté d'un divorce à venir requérait que je trouvas en urgence de l'argent. Je me représentais toutes ces circonvolutions tandis que j'avalais les kilomètres avec ma petite Clio. J'avais à rencontrer six clients sur toute la semaine. Ce qui était peu. Il s'agissait de témoigner qu'on les tenait toujours en considération et qu'on ne les oubliait pas. Le boss à bon escient trouvait irrévérencieux qu'on ne s'en tint qu'au téléphone ou à une conversation Skype avec eux. On devait faire leur tour de propriétaire et s'extasier sur leurs nouvelles extensions. Je savais faire cette façon de grimace. J'étais douée d'empathie et je n'ai jamais pu me convaincre qu'on ne ...
... pouvait tirer un peu de grâce du moindre imbécile. Bon public mon enthousiasme communicatif disposait alors mon interlocuteur à mieux s'ouvrir. Il pouvait à bon droit se croire précieux et légitime. En outre je savais être jolie femme et avoir du charme. Le premier jour pour me donner du cœur à l'ouvrage j'expédiais deux des clients. J'escomptais en voir un troisième le lendemain matin et me donner quartier libre ensuite pour visiter la ville, le guide du routard sous le bras. Mon hôtel pittoresque donnait derrière la magnifique cathédrale Saint-Étienne. J'avais empli ma petite valise de livres dont le Rouge et le Noir dont je voulais retrouver le charme de mes premières lectures. J'étais résolue à ne pas allumer la télé et à fuir les nouvelles du monde. J'avais tapé dans l’œil de l’hôtelier. Il trouvait singulier que je fus seule. Je lui expliquais ma mission et qu'en même temps je voulais découvrir un peu de la région. Il ne parut pas convaincu d'autant qu'il me savait mariée. Il put croire à une sorte de fugue. Il n'en accentua que plus sa drague ce qui chagrinait sa femme. Celle-ci me prit en grippe ce dont j'avais l'habitude. L'hostilité des autres femmes m'a toujours réjoui. Didier car tel était son prénom ajouta d'un ton mutin : « J'ai quelque adresse de dames pour les messieurs. Que vais-je faire pour vous ? » Je lui répondis mi-sérieuse. « Je me débrouille. Je fais mes courses seule. » Le sexe ne me rebutait pas. Je m'offrais volontiers à un homme s'il avait ...