1. Bourge et salope


    Datte: 10/06/2020, Catégories: Anal Mature, Partouze / Groupe Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... des piaules. On peut y faire un roupillon. » Je constatais en effet qu'il y avait ses habitudes. Il ne cessait d’échanger des regards entendus avec un serveur. Ce dernier m'avait d'emblée évalué tel un gibier. Je ne pouvais que finir là-haut avec monsieur. Celui-ci un peu las me dit : « Faisons plaisir à votre patron. Ce serait sympa que vous lui rapportiez une bonne nouvelle. « En effet je n'en espérais pas tant.
    
    Il commanda une bouteille de champagne et muni de celle-ci avec deux coupes, il se dirigea vers l'escalier. Affectant la galanterie le mufle tint à ce que je le précédas. Ainsi put-il sans vergogne savourer mon cul moulé dans une petite jupe en cuir. Parodiquement j'accentuais mon déhanchement. Une main soudain vint à frapper le cul. « T'es une vraie salope toi ! Ton patron ne doit guère s'ennuyer. » Il est vrai que ce dernier m'avait sauté un temps au bureau. Je calculais mentalement ce que notre imbécile nous concéderait du point de vue business.
    
    Les premières fois lorsque je couchais avec un client, une petite boule m'envahissait la gorge et investie de scrupules, je songeais que j'étais la dernière des femmes, pire qu'une putain contrainte à cela. Puis informée près d'une collègue et amie, je sus que c'était courant et admis dans le métier. On ne devait pas se refuser à un client. On devait s'offrir gentiment. Cela était tacite. Y renoncer eut été accepté de changer de profession. J'aimais l’âpreté et la liberté de celle-ci. Bref j'eus moins la boule au ...
    ... ventre. Je pris comme un jeu de coucher avec les clients.
    
    Songeant à sa familiarité avec les putes d'en face, je mis un point d'honneur à me surpasser. La fellation n'était pas le moindre de mes talents. Affalé sur le dos ivre, il ne put réprimer un oh d'admiration. Il fondait dans ma bouche. Je voulais affermir son petit sexe et le rendre potable. C’était un porc. Il en avait l’apparence. J'eus envie de pourfendre ce gros ventre et d'en répandre les viscères. Le branlant je me débarrassais lestement de la culotte et des escarpins. Ainsi fus-je en quelques instants fichée sur sa bite y recueillant quelque plaisir.
    
    Ce bon gros éjacula fort peu généreusement puis commença à s'endormir et ronfler. Il n'avait rien signé. Je ne pouvais me résoudre à abandonner le champ de bataille. Je me mis nue et à mon aise sous le drap et regardait un programme idiot à la télé. L'alcool m'avait pas mal entamée. Aussi vins-je à sombrer aussi en une petite sieste. Peu après je fus secouée et réveillée. Nu et assis à une petite table, il rédigeait. « Il s'agit d'un engagement. Tu peux l'adresser à ton boss. T'as gagné ». « Auparavant tu me dois encore un petit coup. » Il vint lestement me rejoindre.
    
    Il était tout dessaoulé et lucide. Il put cette fois goûter fort à propos mon autre pipe. Puis plus vaillant qu’auparavant, il me besogna en levrette. Nombre de jurons pleuvaient. Je méritais souvent le terme de « grosse putain ». Ainsi revigoré il m’arracha un franc plaisir. Monsieur ne voulut ...