1. Les promesses d'Antoine


    Datte: 09/06/2020, Catégories: f, hplusag, grosseins, fsoumise, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    ... héritage !
    
    La directrice de l’agence marcha de long en large, agacée, avant de s’asseoir sur le bord de son bureau juste en face d’Antoine. Une nouvelle fois, elle croisa les bras sous sa poitrine et ajusta son fessier sur le plan saillant.
    
    — Vous m’agacez, Antoine !
    
    Le papy posa ses yeux sur les cuisses nues et serrées.
    
    — C’est quoi la condition ?
    — Dîner avec moi, Cathy ! Juste parce que vous aimez m’exciter et que vous avez le vice dans la peau !
    
    Catherine le toisa de haut. Elle hésita…
    
    — Allez ! Un simple dîner, chez moi : vous ne pouvez pas refuser cela à un vieillard au seuil de la maison de retraite ! Ce sera probablement mon dernier dîner avec une femme aussi magnifique que vous !
    — Même pour votre argent, je ne coucherai pas avec vous !
    — Je n’ai pas parlé de coucher ! (Il esquissa un sourire) Mais je n’ai pas parlé du dessert.
    — Vous êtes un pervers !
    — Et vous en êtes le tenant féminin !
    
    Catherine croisait les bras et regardait le plafond. Un large sourire s’afficha sur la bouche d’Antoine.
    
    — Je ne vous demande plus la réponse, je l’ai : ...
    ... votre poitrine parle pour vous !
    
    Antoine détailla les gros tétons qui déformaient les bonnets du chemisier. Trahie par son corps, Catherine poussa un soupir et se dressa devant lui : un fard s’empara de ses joues.
    
    Antoine tendit la main vers les cuisses et Catherine fronça les sourcils.
    
    — Pourriez-vous me donner votre culotte ?
    
    Ils croisèrent leurs regards et c’est Antoine qui s’exécuta : ses deux mains remontèrent la jupe et il baissa sa culotte le long de ses jambes bronzées. Il prit dans sa main la fine broderie, avant de la porter aux narines.
    
    — Un double « oui » ! Comme je les aime ! Je vous la rendrai à notre dîner, venez sans !
    
    Des bouffées de chaleur montaient aux joues de Catherine. Antoine se hissa sur sa canne et il s’approcha d’elle. Irrespectueux, il détailla le décolleté et tendit le nez dans le cou de Catherine, avant de humer son eau de toilette. La directrice ferma les yeux, sa poitrine à peine effleurée par l’excitation d’Antoine.
    
    — Rendez-vous dans un peu plus d’un mois !
    
    Catherine acquiesça du menton et ils se serrèrent la main.
    
    À suivre 
«12345»