1. Les promesses d'Antoine


    Datte: 09/06/2020, Catégories: f, hplusag, grosseins, fsoumise, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    Résumé de l’épisode précédent : «Papy est un suceur de tétine »La directrice d’une agence immobilière, Catherine La Motte Pernac, vient estimer la maison d’Antoine Lopez. Pensant être seule, elle est surprise par ce vieil homme aussi charismatique que pervers. Il lui demande une vile faveur, et elle accepte.
    
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    Été 2015. Sur le chemin qui la ramenait à l’agence, Catherine avait les plus grandes peines à respecter les règles de la sécurité routière ; ce qui venait de se passer chez monsieur Lopez avait déstabilisé les certitudes de la directrice de l’agenceEcho Imm. À un feu rouge, Catherine crispa ses mains sur le volant en repensant au vil manège des frères Lopez : il fallait qu’elle les verbalise pour apaiser sa colère.
    
    Dans le parking souterrain, elle parqua sa voiture et attendit quelques minutes avant de couper le contact ; juste le temps à la climatisation de refroidir le sang qui brûlait ses joues. Catherine ferma les yeux et immobilisa sa tête en arrière… Elle revit ces images… La canne d’Antoine qui s’était presque permis de révéler ses dessous… Sa peau et son sein qu’elle avait offerts à ce vieillard…
    
    Catherine sursauta et ouvrit les yeux, avant de serrer les cuisses sur son jus qui coulait au fond de sa culotte. Que lui arrivait-il ? Elle observa les proches alentour pour être certaine que personne ne voyait qu’elle était en manque…
    
    Elle poussa la porte de l’agence. Elle balaya le silence de l’agence en ...
    ... marchant d’un pas autoritaire jusqu’à la machine à expresso où elle commença à se préparer un café.
    
    Dans son bureau, elle déposa ses affaires et quand elle en ressortit, elle croisa Cyril qui la fit sursauter. Catherine se surprit à lui esquisser un sourire comme s’ils étaient collègues, mais cela n’était définitivement pas le cas. Le regard de Cyril lutta pour ne pas voir ce qui était immanquable. Profondément, il inspira, avant de se confesser :
    
    — Madame La Motte Pernac, vous avez eu un appel de monsieur Antoine Lopez. Un dur à cuire celui-là ! Je lui ai répété que je n’avais pas votre agenda et que je ne pouvais pas lui donner un rendez-vous, mais il a insisté et il s’est invité pour demain matin neuf heures.
    
    Catherine resta stoïque et cela surprit l’employé habitué aux vexations. La charismatique quinquagénaire prit son café et traversa le couloir pour aller s’enfermer dans son bureau. Elle régla les stores en position occultante. Elle sortait une pomme qu’elle déposa à côté de son expresso.
    
    Bercée par le silence, elle se cala dans son fauteuil et posa ses pieds, ses escarpins sur le bureau. Elle esquissa un rictus, avant de saisir la pomme et la croquer. Elle croisa les chevilles. Catherine leva les yeux vers la porte de son bureau, glissa sa main libre entre ses deux cuisses… Renversée, sa jupe descendit jusqu’à sa petite culotte en dentelle noire… Catherine effleura un instant son sexe à travers la broderie, avant de porter ses doigts à ses narines. Ses paupières ...
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