1. Les promesses d'Antoine


    Datte: 09/06/2020, Catégories: f, hplusag, grosseins, fsoumise, Auteur: Patrick de Toscane, Source: Revebebe

    ... papillonnèrent et elle esquissa un nouveau sourire.
    
    Quelques quarts d’heure plus tard, elle décrocha son téléphone pour un échange houleux avec l’un des frères Lopez. Dans le couloir de l’agence, il semblait à Cyril que les vitres frémissaient et pendant un court instant, les ruades de sa patronne l’excitèrent…
    
    En fin d’après-midi, Catherine confia la responsabilité à l’un de ses employés pour fermer l’agence.
    
    Sur la route qui la ramenait chez elle, Catherine ne rêvait que d’un bon bain et d’un divan pour souffler et retrouver ses esprits. Le lourd portail de sa propriété s’ouvrit et la grosse voiture emprunta l’allée gravillonnée, avant de se garer devant le garage. Trop épuisée par une journée inhabituelle, la directrice d’Echo Imm abandonna sa voiture.
    
    Catherine trouva interminable le temps qu’elle prenait pour ouvrir sa serrure et quand le salut vint, la chaleur la poussa dans les murs de sa luxueuse demeure climatisée.
    
    Un court instant, elle ferma les yeux, souffla et apprécia la fraîcheur qui entoura son corps… Volontaire, elle abandonna tour à tour, ses escarpins, son chemisier et sa jupe pour ne rester qu’en soutien-gorge et petite culotte. Sa poitrine semblait plus impressionnante que ce matin chez monsieur Lopez !
    
    Elle monta à l’étage pour se faire couler un bain… Pendant ce temps, elle ôta délicatement sa « petite broderie encollée »… Son pubis était lisse et bronzé. Pendant une fraction de seconde, elle médita sur Antoine, ses employés et les ...
    ... frères Lopez : se damneraient-ils pour ce bout de tissu taché par sa mouille lubrique ? Elle dégrafa enfin son soutien-gorge, sa lourde poitrine s’affaissa de quelques centimètres… Catherine attardait son regard sur son téton, celui-là même qu’Antoine avait sucé… Elle passa subtilement ses doigts sur son aréole, effleura son téton : il lui semblait sentir cette odeur séculaire…
    
    Catherine ferma le mitigeur et un silence envahit la petite pièce. Elle attacha ses cheveux et trempa ses pieds, ses jambes et son corps dans la mousse, avant de s’immerger jusqu’au cou.
    
    Prétextant s’envelopper de mousse, elle se surprit à se caresser. Elle passa ses mains sur sa poitrine, son ventre et ses cuisses. Elle prit ses gros seins lourds à pleines mains, les malaxa plusieurs secondes, avant de les relâcher. La belle quinqua les secoua de gauche à droite dans un esprit de liberté pour abandonner une journée de joug.
    
    Après cinq minutes, elle s’immobilisa et sa main gauche dans le bain resta plantée entre ses cuisses… Elle aventura un doigt sur ses grandes lèvres cramoisies, dans son con, avant de revenir sur son clitoris et de lui faire subir un aparté gagnant d’une demi-heure…
    
    Hors du bain, elle se sécha longuement, avant de gagner sa chambre. Elle étala son lait hydratant sur sa poitrine et la massa longuement. Ses doigts enduisaient ce centre d’intérêt jusqu’à ses tétines perpétuellement excitées. Elle s’essuya les doigts dans une serviette éponge, puis caressa son sexe lisse avec ...
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