La filière bulgare 04 : Premières tortures gratuites - Histoires de Sexe

La filière bulgare 04 : Premières tortures gratuites

... Puis, c’est au tour de l’autre main. Elles actionnent les moteurs et je suis soulevé bras écartés en angle droit. Elles m’attachent ensuite des cordes aux pieds qu’elles fixent aux murs latéraux. J’ai les jambes très écartées et, ce qui les intéresse le plus, la queue et les couilles à leur disposition sans que je ne puise moufter. Je sens que je vais déguster.

- Vous connaissez le ball-crusher pneumatique ?

- Non.

Moi non plus, je ne connaissais pas. C’est comme un tuyau pour y passer le sexe muni d’une poche où y loger les couilles. Mais la poche est doublée et de l’air peut être insufflé dans la double paroi qui en se gonflant écrase les testicules.

Une fois en place, elles branchent un tuyau muni d’une poire et gonflent l’engin. J’ai les couilles écrasées sans aucune chance de me soustraire à la douleur. Elles gonflent encore plus et je hurle de douleur.

- Tu vois comme c’est marrant. Tu tourne la roulette et ça se dégonfle. Vas-y. Essaye.

Je sens la pression augmenter et la douleur revenir. Elle me regarde dans les yeux et donne un coup de plus. Je hurle de douleur. Elle attend que je me calme et donne un nouveau coup. Nouveau hurlement.

- Qu’est-ce qu’il est bruyant. Bâillonnons-le.

Elles vont chercher un gag Ball avec gode. Elles connaissent le matériel. Elles m’enfoncent le côté gode dans la gorge et l’attachent serré.

Une troisième candidate se livre au gonflage. Elle me fixe pour constater l’horreur et la supplication dans mes yeux. ...

... Puis elle donne un nouveau coup de pompe et se délecte de ma souffrance. Encore un coup. Je me sens défaillir.

Je reprends connaissance. Elles se marrent comme des baleines.

- Encore deux d’entre nous doivent essayer l’engin.

C’est reparti. Je ne sais plus qui je suis. J’entends crier.

- Mais c’est dégueulasse. Il s’est pissé dessus.

Elle continue à gonfler.

- Vous l’avez mis KO. Je veux le faire aussi.

Et voila je ne suis plus là. Je reprends connaissance et elles m’encouragent.

- Alors mon pépère ! On veut s’éclipser sans souffrir.

Et c’est reparti. Cette dernière est plus vicieuse. Quand elle me voit au bord de la syncope, elle dégonfle légèrement puis reprend le gonflage. Je défaille de nouveau.

Je reprends conscience. Je reconnais l’infirmerie. J’entends Fabienne, la doctoresse.

- Ce n’est pas très malin. Elles vont faire des dégâts.

- Je dois pouvoir certifier aux clientes qu’ils ne se révolteront pas.

- On a eu un mort lors d’une pendaison. Cela ne suffit pas.

- Ils doivent être complètement brisés quand on les vend. Il n’y a pas de discussion possible.

La doctoresse vient vers moi.

- Vous n’avez rien de grave sinon qu’elles ont joué trop longtemps avec le seuil de la douleur acceptable. La douleur disparaitra complètement d’ici demain et elles pourront à nouveau vous torturer. Je vais vous faire apporter à diner.

Mes gardiennes, Noëlle et Marcelle arrivent avec mon repas. J’ai encore tellement mal qu’elles me portent ...