La filière bulgare 04 : Premières tortures gratuites
Datte: 08/06/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Amusonsnous, Source: Hds
... de torture. Torture individuelle aujourd’hui.
Cinq femmes semblant sortir d’un défilé de haute couture m’attendent. Je surprends leur regard sur mon sexe qui, pour une fois, n’est pas en érection. Une assistante vient me chercher car « On a omis de lui nettoyer le sexe après les travaux pratiques. » Lavage, séchage, parfums. Me voilà paré comme une voiture volée. Et retour chez les miss. Que vont-elles bien pouvoir me faire pendant quatre heures. Je prends un coup sur les tibias et me retrouve à plat ventre. Immédiatement les cinq sur moi et je suis immobilisé et menotté. Elles me passent des cordes aux chevilles et commencent à me traîner sur le sol. Elles veillent à ne pas me soulever. J’ai compris. Ma queue puis mes couilles passent sous mon ventre et se font râper par le sol. Cela les amuse beaucoup et pendant cinq bonnes minutes, je sers de serpillère. Elles se lassent. Je suis ensuite attaché par les chevilles à un barre d’écartement elle-même attachée à un mécanisme électrique et je suis soulevé, pendu tête en bas. Evidemment, je suis sous contrainte donc, je bande.
- Il a la queue tellement relevée qu’elle lui colle au ventre. On ne la voit pas bien.
- Attend, j’ai une idée.
Elle revient avec une ficelle, fait un nœud coulant et y enserre mes couilles puis y suspend un poids en faisant passer la ficelle derrière moi.
- Cela ne change pas grand-chose. Ajoutons-y, chacune à notre tour, un poids supplémentaire.
Après quelques ajouts, j’ai les couilles ...
... tellement tirées en arrière que j’ai la queue à l’horizontale.
- Je préfère ainsi.
- Si on lui mettait un plug.
- Bof.
- Oui, mais un plug d’urètre.
Elles vont choisir leur matériel et reviennent avec un plug de diamètre normal mais assez long. Je peur. Je crains une fausse manœuvre et je transpire. Elles enduisent le plug de lubrifiant et l’enfoncent, le retirent, l’enfoncent plus loin ce qui en rend l’introduction confortable. Une fois l’engin introduit jusqu’à la garde, l’une d’entre elles, plus experte s’amuse à relever, donc dans ma position abaisser le plug ce qui, vu sa longueur, me titille la prostate.
- C’est bon mon cochon !
- Oui Madame !
Je veux bien être torturé comme cela toute l’après-midi mais je suppose que ca ne va pas durer. Elles s’amusent maintenant à faire des va et vient. La sensation est comparable à celle d’une éjaculation mais sans limite dans le temps.
- Montre-nous que tu as bon, sinon on te fait mal.
Elles passent chacune à leur tour me torturer de plaisir. J’ai vue sur l’horloge de la salle. Pendant vingt-cinq minutes, elles m’ont procuré une sensation comparable à l’éjaculation. J’ai essayé d’éjaculer mais avec le plug dans l’urètre, impossible. Elles retirent le plug , les poids et la ficelle.
- Bon, on le retourne.
Elles actionnent le treuil électrique qui me pose sur le sol. Elles sont cinq à me tenir. Une de mes mains est libérée des menottes pour être attachée à une menotte de suspension fixée à un câble. ...