1. La filière bulgare 04 : Premières tortures gratuites


    Datte: 08/06/2020, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Amusonsnous, Source: Hds

    -- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
    
    Lundi 08/07/2019 PM. Je vais être torturé sans raison de 13H30 à 17H30.
    
    - « Nous allons te soumettre à la questionnette du Frère Ponce. »
    
    Elles ont trop regardé les visiteurs. N’empêche que je n’en mène pas large.
    
    Je suis attaché au chevalet et mis en tension. Puis, celui-ci se soulève et la table sur laquelle j’étais allongé est retirée. Constatant que mes liens sont trop lâches à leur goût, elles retendent les fixations d’un coup de moteur. La douleur aux poignets et aux chevilles est atroce et je gueule. Elles m’enfoncent un tissu laineux jusque dans la gorge. Je suis muet. Elles montent ensuite le cadre à environ 1m du sol et inclinent celui-ci. J’ai les pieds 60 cm plus haut que la tête.
    
    - « Courage mon frère. Ce n’est qu’un mauvais moment à passer ! »
    
    Ma tête est immobilisée dans un cadre stéréotaxique de sorte que je ne puisse absolument pas la bouger. Evidemment, les contraintes me provoquent une érection abominable.
    
    - « Ce soir, tu verras. Ta queue ne se lèvera. »
    
    En olus, elles s’expriment en vers ! Elles prennent une cruche et versent lentement l’eau sur le tissu. L’eau arrive dans ma gorge et je ne sais rien faire pour la repousser. J’essaie de ne pas inspirer mais rapidement le reflexe reprend le dessus. Je sens le liquide monter dans ma trachée. Je me débats mais je ne peux bouger. Mes efforts renforcent mes douleurs. Je me sens défaillir. A ce moment, elles retirent le tissu de ma ...
    ... gorge et dressent le cadre. Je suis tête en bas et crache toute l’eau que je peux.
    
    Elles me remettent en même position. J’entends les plaintes des autres suppliciés mais je dois dire que ma situation m’importe plus que la leur.
    
    Je les vois tordre le tissu. Je sers les dents afin qu’elles ne puissent me le replacer. Peine perdue. Elles disposent d’un écarteur électrique avec lequel elles m’ouvrent la bouche et replacent le tissu.
    
    - « Alors ! Cette queue ne veut pas redescendre ? Nous allons l’aider. »
    
    Même action. Même conséquences. Et cela se répète. Après un certain nombre de ces peines, j’ai perdu mon érection. Je croyais que cela allait mettre fin à mes tourments.
    
    Non. Elles recommencent encore et encore. Je dois être dans un drôle d’état car j’ai l’impression de me voir en train d’être torturé. Je les entends.
    
    - Il vas être 17H30. Nous allons pouvoir arrêter.
    
    - Alors ! Où en êtes-vous ?
    
    - C’est vous, Jade ! Cela fait quatre heures que nous le passons à la question et il revient à lui à chaque fois.
    
    - Que dit la doctoresse ? Françoise !
    
    - Oui Jade ! En fait, il va bien. Tous ses paramètres sont bons.
    
    - Oui mais cela suffit pour aujourd’hui. Remettez-le en cellule.
    
    Elles replacent la table sous le chevalet, descendent celui-ci afin de m’y poser. Elles détendent les liens et me les enlèvent. Mes gardiennes me soulèvent et me portent jusqu’à ma cellule. Elles me placent sur la couchette en position latérale de sécurité, bien sûr, m’attachent ...
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