Une nuit sur le mont de Vénus
Datte: 04/06/2020,
Catégories:
fh,
fépilée,
Oral
confession,
Humour
Auteur: Samuel, Source: Revebebe
... Elle s’y employa manuellement et mon érection la ravit. Elle me dit qu’elle en avait assez des mecs cyniques et blasés, qui baisent en jetant un œil à leur iPod. Elle cherchait depuis si longtemps un type simple, pour ne pas dire simplet. Un innocent aux mains pleines. Un naïf attendrissant. Un provincial un peu couillon. Je peux vous dire que j’étais fier d’être tout cela à la fois.
Nous sommes rentrés dans la noce pour ne pas inquiéter ceux qui nous cherchaient. Mais en réalité, personne ne s’était inquiété. Le soir, elle me donna rendez-vous dans la grange au foin. Il faut vous dire que j’adore le foin. Quand j’étais petit, j’en donnais à mes lapins et…
Bon, d’accord, j’abrège. Imaginez quand même le romantisme de la scène. Un grenier à foin… Une noce qui s’amusait… De la musique viennoise… Bref, je montai en tremblant l’échelle de bois. Elle était tout en haut de la meule. Je me jetai sur elle, sachant que l’occasion était trop belle et qu’elle ne se représenterait pas. J’avais surtout peur qu’elle change d’avis. Elle me repoussa dans un grand rire, en me disant qu’il fallait être patient et passer par les préliminaires. Elle me demanda si j’avais un préservatif. Et comme j’étais à cent lieues d’avoir pensé à ce détail, elle me dit :
— Heureusement que moi, je pense à tout. Mais j’aime bien aussi les gars comme toi qui ne pensent à rien.
Elle me prépara avec un doigté tout à fait délicat mon pénis et le ...
... revêtit d’un capuchon caoutchouté rosâtre. Puis elle me guida. Il fallait lui lécher les seins, le ventre, les fesses. Elle adorait qu’on lui lèche les fesses. Drôle d’idée. Moi, ça ne me dérangeait pas, mais elle ne se rendait pas compte que je n’avais presque plus de salive. Et puis, elle retira sa culotte. Un string qu’elle appelait ça.
— Comment tu me trouves, qu’elle me dit.
On ne voyait pas grand-chose. Alors, elle sortit de sa robe étalée à côté d’elle, une lampe de poche et elle s’éclaira. Les seins, le ventre, le sexe… La surprise fut totale : elle était imberbe ! Je restai un moment sans réaction. Je distinguais nettement ses grandes lèvres déjà ouvertes ! C’est la première fois que je voyais cela depuis mon voyage au Vatican et les statues de Praxitèle. Je compris tout de suite que j’avais affaire à une vraie chauve. Je m’approchai d’elle avec le sourire de celui qui va découvrir la mystification.
Elle ouvrit un peu plus les jambes, mais je ne me laissai pas prendre à son jeu. Je lui tirai les cheveux pour faire tomber sa perruque, à cette vraie chauve. Mais elle avait des faux cheveux qui ressemblaient vraiment à des vrais parce qu’ils tenaient bien. Julie hurla comme une folle et se mit à se débattre au point de tomber de la meule. Toute la noce accourut en entendant les cris et découvrit la pauvre fille tombée dans la boue. J’étais debout sur la meule et mon préservatif tomba aux pieds de la mariée.